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EXTRAITS.
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n.',e' 'élèvL8 iiâ'rs'à l'expérienfe prouve ,q-al ç :--i." éfiee'e plus du vingt-einqulème de Wy"a'p' urjtolie, qui est tout it fait insignifiant. Aussitôt que r on introduit la vapeur d'eau sur /al
lee6mbueib1e1a fumée di parait, la flamme deV'I'eett pIteletillante et la chaleur plus grande; la suie qtfieftâchait à la surface inférieure de la
chandièrefeimmédiatement détruite et le métal redeviegpbrillant. . h '-àç bons résultats, quelques pqprr arriver .,i ,,,, JI10?. d,ii..i..,1c. . préfiehie s wilgssalifi s.otiy.,, nisi nes que la va_ lie Rit Info IX ap:Su.e, rne, on e marque da Y eie V cendrier ic"11cite ete.pefl ei ej9cgri O9Ael0 ---qcesse à lin.
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ce defaut soit" parues trous soit DI fli'll.:8 Plâcée 1, ,ustione ercieuiiielette pr7 du tube, bati)pomn, ev t incompiete pat). mari:que dupe suffisante filu a n tw t>&"*ir Ainsi encore pu-r l'admission de la vapeur 4,-en e four-
dées par l'usage de la vapeur que par l'emploi de
l'air seul et quant aux chaudières, elles ne sont aucunén-ient altérées.
9. Détermination de l'ÉQUIVALENT I Afrielques corps simples ; par MM. Erdmarm ex-Marchand. (Revue scient, t. 1 3, p. 382 .lip
Le travail dont rielliifre-ibs occupiihouvera l d,r, equiva probablement que l'idée dfe f'rout , quea lents des corps sil egés Ronie r7,à maiwisgepdé Vé-
Creel'ïll £153.5
9 boinsre.s q,ui n,,,9ottl,f asfieone§p.eferar_,si)uff9ueneixt_eirfn90,9pg terliit.
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mi cée est élevée, la chaleur produite parla combu pn est si rvidement entraînée, que la chaudière.,n'aPas le ,,-,temps de se l'approprei,les précautions consistent soit à diminuer la demteur de la cheminée, ou même à la supprimer tout à fait, soit à refroidir le canal par des ouvertures pratiqqekee sa .4e. Enfin il - importe,fencoreque le coranstiglë Eque l'on ' ikrOduit 'desle I foyer , le
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Les barres de fer du foyer sOri,t Moins corro-
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Cborate de pétasse , car 2 pliéI dVISia.romate _produisent autant d'oxygène que i partie de chia-