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CHIMIE. 456 Lorsclyder,sera arrieà, ce point, il sera facile, p expériences et panne sans ayp:ir reconrsjk
simple soustracon/wle,erpprer itonoes élé-
ments nécessaires à, ,déterminationlde la quantité ,d'acWe,ihyposulfureux.à On ret»nghera .dnn poids,totatde l'iode employé celui qui auratrans,474 formé l'acide sulfureux en acide sulfurique; la différence aura été absorbé par l'acide hyposulfureux. Or, on sait que.2 équivalents,de cet acide absorbent équivalent d'iode. POUF, traiter la liqueur parbode, on se servira, comine dans le sulfhydrornètre, d'une dissolution peu iiitteea, peu iest alcpo ieteé,e, pri44ans PiintliA` à la, lfW urr4f120,9 le,pcp,4' ,
epp,,iisu.a,Ftr4ablenen, déterminé
Minst,i facile
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prpaiune,,teinte
nigementde coloration,est la nt,ne bmout à f4itt inutile d'ajngters,à,<lalir,i, queur.çlçf,1fflidon ou tout autre corps egranger,..,
jaunfit»,;
TroiK4 e portion. Cette partie de ,latliiskuein.É servira ,anAosage de l'acide hyposulfurique furé ; orçla traitera par l'iode en prenant les ,mêmes précautions que pour la précédente, jusqu'à saturation', mais sans qu'il soit besoin de tenir compte du poids, du réactiff,emtployéejkiode ;formera ,
conime moieavons çlit up, sti,lfate; aux dépens de l'hypoffilfite, et un hypogulfe,444;fure aux dépenlehyposuliffte ; cette quantM5'ajoutera celle;
coeenue dans la liqueur,eela fait, on
ajoritèqil la dissolution saline à analyser environ roo parties d'eau; et on la traitera par un courant
de chlore. Le gaz sulfatisera tout le soufre de l'hyposulfate bisulfure sans toucher à celui de
EXTRAITS.
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l'hyposulfate ordinaire. Quand la saturation sera complète, on saturera la liqueur par le chlorure de baryum. Le poids du sulfate de baryte qu'on obtiendra représentera le soufre du sulfaté,ide stilfite,, del'hyposulfite et de l'hypésulfate bigulfuré. Comme les opérations faites avec la prernière et la deuxième portion de la liqueur auront fourni un chiffre indiquant la quantité de soufre contenu dans les trois premiers, la différence des deux poids servira à déterminer la quantité' &soufre contenu dans le dernier et, par suit,g;egierniiids ?MM total. utile d'indiquer ici que les ,mv egieuld I. ate debaryte btenud e trete-hl
oens
lest
cède, devrnt être faiialleandiàtills hte, et continués pendantiorigtem mêlé à beaucoup d'iodate del!)hi.5eècl fbiriLpau
sui te de l'action du chlore surieS'iddtir Miiténus dans la liqueur, et que cet iodate est fôr ,Wsolfible dans l'eau. Si les lavages avaient été`in4iffigants
pendanti calcination du précipité orl' %M'ait un dégagement de vapeurs violettes qfirlitdiqueraient la présence de l'iodate , et il resterait de la
baryte dans le résidu; il serait alors facile de s'en débarrasser au moyen de l'acide chlorhydrique afEtibli.
,e88t1
Quatrième portion. 11 ne restera Plus à doser byposulfurique. On -conçoit qu'il suffira, pour 'Connaître laoquantité de ce dernier acide, de connaître le 'poids de la totalité du soufre, car alors, après avoir rendOux eire au tres acides ce qui leur appartiendra':, la différence reviendra à l'acide hyposulfuriqué»iMais le dosage de ce soufre totarprésente quelque
ques difficultés. La sulfatisation des composes in-
Tome III, f843.
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