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CIRCULA11t-ES.
Je vous invite, monsieur le préfet, à prendre un arrêté réglementaire rappelant les dispositions qui précèdent, et à lui donner toute la publicité nécessaire, soit par des affiches, soit par l'insertion dans le recueil des actes ad-
relatifs aux machines à vapeur locomotives employées
moyens à la fois. Je vous prie aussi de m'adresser, conformément à l'article 67 précité de l'ordonnance, une expédition des permis par lesquels vous autoriserez l'établissement de ces calorifères. Veuillez m'accuser réception de la présente circulaire,
tubes.
ministratifs de votre département, soit par ces deux
dont je transmets une ampliation à MM. les ingénieurs. Recevez, Monsieur le préfet, l'assurance de ma considération la plus distinguée. Le sous-secrétaire d'État des travaux publics, Signé LEGRAND.
Paris, le 5 avril 1815.
Monsieur le préfet, j'ai l'honneur de vous transmettre, en double exemplaire, les tableaux n° 1 et n° 2 destinés à recevoir les documents statistiques concernant les maÉtats statistiques chines et chaudières à vapeur employées en 1844 dans les de 1841. établissements industriels. 11 conviendra d'y inscrire aussi les appareils dont il est fait mention dans les circulaires des 30 janvier et 11 février derniers, s'il en existe dans votre département ; ces appareils devant également être soumis au régime des permissions et à la surveillance des ingénieurs. Je vous prie de me renvoyer le plus tôt possible l'un des exemplaires de ces tableaux. L'autre devra être conservé comme minute. Recevez, monsieur le préfet, l'assurance de ma considération la plus distinguée. Appareils à vapeur.
Le sous-secrétaire d'État des travaux publics, Signé
LEGRAND. Paris, le 7 avril 1815.
Machines locomotives,
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CI-RCULAIRES.
Monsieur le préfet, j'ai l'honneur de vous adresser, en double exemplaire, dont l'un devra être conservé comme États statistiques minute, les tableaux n° 1 et n° 2, sur lesquels devront de 1844. être portés, pour l'année 1844, les documents statistiques
sur les chemins de fer.
Une addition a été faite à la colonne n° 7 du premier de ces tableaux. Elle a pour objet de distinguer la surface de chauffe de la boîte à feu d'avec la surface des
Ces deux éléments ne contribuent pas dans le même rapport à la production de la vapeur. 11 convient en conséquence de les indiquer séparément. Pour avoir, en outre, des observations comparables, il est nécessaire que la surface de chauffe de la boîte à feu soit calculée d'une manière uniforme. Dans les cas ordinaires, cette surface peut être considérée comme égale,
en négligeant l'étendue de la porte du foyer, aux cinq faces d'un parallélipipède rectangle ayant pour hauteur la distance de la grille au dôme de la boîte à feu, et, pour dimensions horizontales, celles du dessus de la boîte. La surface ainsi calculée est, dans les machines les plus récentes, un douzième à un quinzième de la surface totale.
On devra, du reste, continuer à régler les diamètres des soupapes de sûreté des chaudières de locomotives conformément à la formule D=2,6
n-0,412
donnée
dans l'instruction du 22 juillet 1843. Les dimensions que les meilleurs constructeurs ont généralement adoptées pour les soupapes de ces chaudières sont égales ou même supérieures à celles qui résulteraient de l'application de ladite formule, dans laquelle on prendrait pour base du calcul la surface de chauffe totale sans distinguer la surface des tubes de celle de la boîte à feu, et l'expérience démontre que ces dimensions sont suffisantes et convenables.
Je joins ici deux autres tableaux destinés à recevoir les détails concernant les machines à vapeur fixes qui existeraient dans quelques-unes des stations du chemin de fer.
Je vous prie de rue transmettre le plus tôt possible les états qui auront été dressés.
Recevez, monsieur le préfet, l'assurance de ma considération la plus distinguée. Le sous-secrétaire d'État des travaux publies, Signé LEGRAND.