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cintuE.
bourt , un mélange de bioxyde et de mercure M. Lefort a constaté dans ce précipité la présence
du mercure, à l'aide d'une lame d'or, qui s'est immédiatement amalgamée. SEL DOUBLE dechlorure mercurique et d'acé-
tate de cuivre; par M. Woehler. (Ann. der Chem. und Pharm., i845, n° 1.)
En mélangeant des solutions saturées à froid de sublimé et d'acétate cuivrique on obtient bientôt des cristaux rayonnés d'un beau bleu; ils sont presque insolubles dans l'eau froide. L'eau bouillante laisse une poudre verte et dissout du su-blimé. Leur composition est la suivante : 211gCl+C4.11.3032CuO.
Nouvelle théorie de l'AMALGAMATION ; par M. Bowling. (Ann. de chim. et de phys., t. XIII, page 25o.) Depuis quelques années on s'est beaucoup oc-
cupé de l'amalgamation; d paraît toutefois que, malgré les travaux les plus récents, la théorie de cette opération laisse encore à désirer. Voici ,, en effet, l'extrait d'une lettre a dressée par M. Bowring, ingénieur des mines au Mexique, 'oit il a séjourné
plusieurs années, à M. Pentland.: « j'ai fait sur l'amalgamation quelques expériences curieuses ., dont les résultats détruisent complétement l'ancienne théorie de la formation des chlorures, et leur application que j'essaie actuellement sur une grande échelle avec diverses sortes de minerais, semble devoir réduire les.frais
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EXTRAITS.
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de réduction de 3o à 4o p. toc) dans les minerais pauvres, et de plus de 5o p. ioo dans les minerais riches. Pour vous expliquer ce système , je commencerai par la théorie du bénéticio que j'ai conçue, il y a environ un an, et pour laquelle j'ai fait des expériences sur une,grande échelle. « Le bichlorure de cuivre qui se forme dans l'opération du patio avec le sel et le sulfate de cuivre forme, par le contact avec le mercure, du protochlorure des deux métaux. Celui de cuivre, absorbant l'oxygène de l'atmosphère, est converti en oxychlorure. Trouvant cependant qu'en mettant cet oxychlorure déjà formé dans l'appareil , on évitait seulement la dépense dans la manipulation sans épargner le mercure , je conclus qu'il se formait durant l'opération quelque sel de cuivre non décrit, et j'ai été conduit à faire l'expérience suivante « On prend 125 parties de deutoxyde de cuivre, qu'on fait bouillir avec environ 27 parties de sulfate de cuivre et 27 ï' parties de sel marin. Lorsqu'on n'aperçoit plus de cuivre dans la dissolution, on ajoute .too parties de ce métal bien précipité, et on fait bouillir le tout jusqu'à ce que le dépôt acquière une couleur rouge brique. Ce dépôt pu--' raît être un composé de protochlorure et de protoxyde de cuivre. En très-peu de minutes, en le faisant bouillir avec du sulfure d'argent simple ou composé, celui-ci est réduit à l'état métallique. Il se forme en même temps de l'acide sulfurique. Je soupçonne fortement que l'oxychlorure de cuivre ou un composé analogue se forme dans lehénéficio ordinaire, et surtout lorsque l'amalgame de cui-
vre est employé en partie, au lieu de mercure,' méthode qui a été suivie avec succès durant les