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GISEMENT, EXPLOITATION ET TRAITEMENT
mécaniques. préparatoires ; il en vient encore comme il a été dit des cribles à secousses, dont la première levée n'est autre que ce produit , et On en obtient aussi de la caisse allemande. Enfin, on
traite en outre comme poehgiinge les matières suivantes. Après l'opération :métallurgique , les dernières crasses pauvres sont jetées sur une claie placée, sous une inclinaison de 45° au-dessus d'une grande cuve rectangulaire pleine d'eau. Cette claie, qui a Immo de long et ir°,4o de large, est compo-
sée de fils de fer, formant entre eux des mailles carrées de r pouce ou ow,026 de côté. Par ce refi oidissement subit, les grenailles de plomb qui étaient engagées dans ces crasses s'en trouvent iso-
lées; puis pour les séparer du mélange , celui-ci est recueilli dans la cuve et passé sur un crible à secousses; une femme traite ainsi, dans .une journée de 12 heures , toutes les crasses pauvres fournies en une semai ne par un fourneau à double sole,
dopplofen, dont il sera parlé dans le dernier diapire,et reçoit o",66. Ces 'crasses qui contiennent 7,6 p. o/o de plomb en grenailles, en donnent cle cette manière 2W(11.. Enfin un dernier produit, qui est soumis au traitement génér ,1 des pochgiinge, se compose des débris de soles. Boeard.
Toutes les variétés de matières pauvres, qui viennent d'être, énumérées. sont d'a bu rd bocardées
sous l'eau , chacune séparément. Le boeard est formée de trois batteries, élaborant en général des qualités différentes de minerais. Chacune de ces batteries comprend cinq pilons qui fi:topent sur une sole en foute, laquelle u 0"1,7 de long, es! 84 -,k1L. Quint aux de haut, autant de large et pèse pilous, ils ont 3'", i6 de haut, om,13.> de large et 0%1.66 d'épaisseur. 11 existe entre deux d'entre eux
DE LA GALÈNE A ELEIBERG.
287 ()Uni1.. r/ei te a consécutivement, un intervalle vide de 01°,04. Ils portent, à leur extrémité inférienre,sur ,une hauteur de om,395 , un sabot en fontecid.Poids de or
,Ï41à1;,, lepil
entier, pesant 45"e LetirJeéet
de oui, 2
4 et ili'frappent.; les trois batte'ri6à7(cliifiii; ') prises, de Go a 75 coups par minute.,"eSi,paror,s latérales de la partie inférieure de ilàiel),,OC'a7d sont formées P" 'grilliiges. 'edriiPiisée'ire Cils
de fer verticaux de.'om,0O66
hauteur et laissant entre eux (les vid'es.de o, 000b à om,0007. Ils sont portés par ni.PCbàssis en fer' ei s'élève à om,o26 au-dessus dela sole. A klli:à`eiuje batterie répond un marteau qui sert, en' Velpdt
frapper périodiquement les, grillages correPein'L datas , à empêcher les 'ides (1;r'céu'iLci struer. Ils sont 'mus , ainsi que les pi ions, par' arl roue hydraulique en dessus. Le nrinerai se iiee'rse dans les bocards par des treinies'ineliàéeS'.' CelCiui
filSe de paSser trà`V'eris'fes'4èill'ageS est aie ux tiMitte" et piujtte afix erible:Là secoeisses. Quant a ni Fr'isiè ira 7.1erse nt et qui forment la mail'i.i..We'°Pai'lVeldlà, risi'oduit, elles
porté:, part
.;
se rendent , avec les canaux 'ile sépa ra don
,- dans
ou i (fig. 1, Pl. IX). lly'à deux selles semblables de
ces conduits juxtaposées absolument comme ppur les débris,le'S-pluS',','Irn's:,qui
-ont traversé tous 'les
cribles 'bascule 'et 'même c'est-à re. afin qii'on puirsse enlever les:kibles qui s'y déposent et les nettoyer , sans interrompre le
travail. Il existe, à cet effet, des vannes qui permettent de faire entrer les eaux bourbeuses du
bocard indifféreniment dans l'un ou l'autre de ces deux systèmes de conduits. Les trois canaux qui constituent chacun d'eux, ont des pentes décrois-
Tomé P111, i84.
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L1(1;,T.,