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289 fig. 6, 7, 8) sont des traverses entre lesquelles les poutrellesg,g, peuvent jouer et pousser les tables, au moyen de leurs bras h, h. Les oscillations de ces poutrellesg, g ( fig. 8, P 1. I X), autour de leur extrémité inférieure qui est fi xe, son t produitespour
hrinhes qui répondent respective-
chacune d'elles, par8 cames n, n, placés su,r, le con-
mètre ; celle du, second , de ÷,P°_par Itlatter ou de par om,007 par mètre..etcelle.du A la suite vienklafter, oi`J."4-16h'!;O6'55 par mètre.
nent ct
,
Chacun d'eux est composé
dont le fond. a la même
'd'urie',seie'ag-.2di'uoi. ' 40, canal de séparation, roi inclipaisien,Iiie le troisième 'on",dn'Zpai mètre. Aux labyrinthes succèdent ou qui précèdent trois 'téSeivoirS, à fond horizontal , les différents conle cours d'eau extérieur. Entie duïtS[de séparation se trouent aussi de petites .
vani-ià,;'au Moyen desquelles reau ne passe
de
l'un dais le suivant, qu'après avoir laissé dans certillà les s'ables qu'elle 'doit y déposer. ,
Le produit du premier' canal est fractionné en deux pai-dels'qui sont élaborées chacune séparément sur iule t'able à secousses et fournissent le schlieb,cle bocard le moins fin (r6scher Pocher-
schlich ). Lés déiii")ts. formés 'dans, tous les autres conduits et dans les' réservnirS'sont.aussi lavés séparément sur des tables. a secousses et donnant
encore un schlicl de imeard. ( milde PocherTables À secousses.
..makay.DE LA GALÈNE A BLEIBERG.
GISEMENT, EXPLOITATION ET TRAITEMENT iantes à mesure qu'ils s'éloignentlru bocard celle -Clu premier est de IP° parklafter ou de. om,o 14 par
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schlich ). II - y a deux tables à secousses semblables, qui 4 à 14. sont représentées avec détail Pl.' IX En voici la description sommaire ci, a, sont des poutres transversales entrelesquelles e 'ePosent longitudinalement d'autres b, b; c'est entre ces dernières que s'étendent les tables de lavage. ce est le madrier coms6lidé par l'assemblage cid et contre lequel ces. dernières viennent choquer. La charpente supérieure est supportée Par les piliers e,e
(pux, fig. 5,6,7,).
tou r dera rbre moteur k. i,i,sont dés poutres verticales entre lesquelles s'étendent les traverses qui soutiennent un des tourillons de celui-ci. La colonne o.(Pl. IX, fig. 6 et 7), qui s'élève surie sol de l'atelier, porte un petit récipient hexagonal p, sur lequeltourne une espèce de trémie ou d'entonnoir q (Pl. IX, fig. 4, 7 et 8), dont le mouvement lent est produit au moyen d'une came r, fixée de part
et d'autre du proloig-ement.. du tourillon de ià roue, laquelle came fait nieuvoir un levier qui communique à la roue dentée,,formamt la partie inférieure de l'entonnoir, à raide d'un, bras zontal, terminé en crochet. A.u,dessus de la trémie g, s'en trouve une autre petite s, supportée paria poutre i (Pl. IX, fig 4 et 7). L'eau néees. salie à la manipulation est amenée du réservoir d'eau de la roue
pare tuyau tut (fig. 6, Pl. I.A)
et de là dans le conduit vertical cm; puis,.entip le tuyau horizontal w (fig. Pl. IX ) la (répand dans l'entonnoir q.; l'eau excédante s'en va par e, xx, jusque dans la rigole y. Les poussières et le liquide entrent par l'orifice inférieur de q dans le récipient p, et ensuite par lecanal
z(Pt.1X,fig.4
et 6) sur la tête a' de a:table de lavage. Il
y
comme c'est l'usage, de petits coins en ,,bois,pour répandre l'eau en napp.e,c' (fig. 8, pe.,.rx ) est, le cylindre régulateur, auquel sont liées les chaînes
qui portent la partie inférieure de la table, d' d' est le levier qui sert à le manoeuvrer, en fixant