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SITCATION DÉS FORGES
Parmi les forges qui formaient Cette société, telles. de Donieux sont des premières où le travail procure les Meilleurs réstitats, et c'est la seule qui
eût gagné dans le cours de l'exercice énoncé, bien qu'elle n'eût pas fabriqué tout le fer qu'il lui eût été possible.
Les forges qui se sont séparées ont alors demandé, comme condition de leur division de la société, qu'on leur cédât cette usine qui se trouve au milieu Ailes, autant pour s'aider au moins des résultats qu'elle procure, que pour ne pas avoir, en toutes choses; un concurrent près de soi; la société a cédé cet avantage pour obtenir sa dissolution: Il s'est alors formé deux autres sociétés, chacune séparément sur les mêmes bases et sur les mêmes principes. La première, composée de toutes les forges avant celle d'Ecot , comprend i4 four-
neaux, et réunit un fond de 2.100.000 fr.; la setonde, composée des autres forges, a 6 fourneaux, de roulement. 't:teo.000 On est aux premières années de ce nouvel essai.
Les forges de Châtillon avaient depuis longtemps fait usage de moyens semblables pour arri. Ver à une production assurée et facile. Les maîtres de forge du Chatillonnais sont réunis au nombre de 7, et ont ensemble 18 fourneaux. 'T'eus les produits de ce pays appartiennent dès
lors au même intérêt. Leur pla:ement dans les lieux où ils peuvent arriver est toujours sûr. On n'a plus qu'il combattre, pour ainsi dire, les produits des forges étrangères plus éloignées, qui ont Mut. elles le désavantage du transport, bien plus que suffisant pour empêcher les placements, lors-
qu'il s'agit de vendre. Le principe de cette unité
DE FRANCS gT DE BELGIQUE.
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d'intérêts est même poussé sj loin, que la sociétii. de Chatillon, pour éviter toute,imirliétnde, meroOs un désaccord ,.et ne pas-faire naître chez se4i.euts, ou sur les places occupées par ses produits, ridég. d'une autre fabrication que hi sienne dans lnpays, loue un cours d'eau dès qu'il est à louer, et Jpisse chômer. De sorte qu'a vrai dire, dans cette ;nontrée de la Bourgogne il n'y a, pour la partie rué tallurgique, qu'un seul intérêt de commerce; Les efforts dont nous venons de parler, relativement à; l'essai de sociétés semblables pour le, forges .de Champagne, n'ont pas réussi d'une manière aussi complète; nous venons d'en vgip,mne pi;fflièRe
forcée de se dissoudre. Eu dehors de cette société se trouyent plusieurs autres établissements , et dont les intérêts vienk± dront plus tard à l'encontre des premiers. Ce sou, i° ceux qui ont eu assez de confiance çn eux7t mêmes pour vouloir rester seuls; 2° ceux qui bon&
aussi importants eux-memes que toute autre soft. ciété; 30 ceux qui , peu.importants en eggiornen4; voient cependant dans les moyens de éveloppgn; men [s que nous avons d'abord marqués,,,lai;posstri bilit d'accroitre leurs produits aveç letyr sources disponibles actuelles.
Les premiers de ces établissements sont, pogi la plupart, placés à proximité des bois, ou ont toujours, par une longue ;habitude, le .moyen de se procurer leur approvisionnement; et ils se sont d'ailleurs assurés que le bénéfice habituel de leurs produits était de beaucoup au-dessus du surenché,
rissement qui pouvait, en toutes circonstances,
avoir lieu sur le prix du combustible.
Les deuxièmes ne peuvent se rapporter qu'à Mu appartenant à un seul propriétaire doe le$