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CIRCULAIRES.
ils avaient trouvé pour pénétrer précisément au point oùreste, que dans de exemple qui montre, du un refuge qu'on ait à et quelques difficultés pareils evénements , succès, et surmonter, on ne doit jamais désespérer duabandonnés, 'ne doivent jamais être que des ouvriers ont péri. même lorsque tout semblerait annoncer qu'ils eussent aussi que les travaux Mais cet exemple fait voirde certitude si les plans presété dirigés avec bien plus existé. La tenue des plans crits par les règlements avaient souterrains est une obligation et registres des travaux sous impérieuse, dont les concessionnaires ne sauraient, à ce qu'elle s'affranchir. On doit veiller aucun prétexte , soit toujours et exactement remplie. ces plans et registres Aux termes du décret précité, l'ingénieur des mines, à chadoivent être représentés à les plans et coupes doivent cune de ses visites. En àla préfecture. Si ces condioutre' être adressés chaque année a tions ne sont pas exécutées ponctuellement, l'autorité l'ordond'office, conformément à le droit d'y pourvoir nance royale du 26 mars 1843. ordonnance, faute par les D'après l'article 6 de cette concessionnaires de transmettre dans les délais fixés les plans de leurs travaux souterrains ou d'avoir sur leurs exploitations les plans et registres d'avancement journadelier des travaux, le préfet peut, après la mise enleurs meure indiquée aux articles 3 et 4, les faire lever à frais par les soins des ingénieurs des mines : le tout sans préjudice des poursuites judiciaires qui pourraientloiêtre du à exercer, en vertu des articles 93 et suivants de la le fait de contravention. 21 avril 1810, pour Ces dispositions donnent le pouvoir nécessaire pour faire exécuter les prescriptions des règlements. Je vous invite, monsieur le préfet, à y tenir la main dans votre département. Je me réfère aussi, à ce sujet, aux instructions contenues dans la circulaire du 10 mai 1843. dont je Veuillez m'accuser réception de la présente des mines. transets m une ampliation à MM. les ingénieurs Recevez, monsieur le préfet, l'assurance de ma considération la plus distinguée. Le sous-secrétaire d'État des travaux publics, Signé LEGRAND.
CIRCULAIRES.
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Paris, le 21 octobre MS.
Monsieur le préfet, l'administration recueille avec soin tous les détails des accidents relatifs aux appareils â vapeur, afin de prévenir, autant que possible, le retour de ces déplorables événements , en signalant les causes qui les ont amenés et les moyens de s'en garantir. Je vous ai déjà transmis, le 27 octobre 1842 et le 15
janvier 1844, diverses notices à ce sujet, extraites des Annales des mines. Depuis, plusieurs autres rapports concernant de nouveaux accidents m'ont été adressés. Je les
ai fait également insérer dans les Annales. (4' série,
tome VI, 1845) et réunir à part dans l'imprimé ci-joint, dont je vous envoie des exemplaires pour être distribués aux principaux propriétaires et constructeurs d'appareils à vapeur dans votre département. Les explosions dont il s'agit ont toutes été occasionnées par l'inexécution de quelques-unes des dispositions que prescrit l'ordonnance réglementaire du 22 mai 1843 et des précautions que recommandent les instructions sur la matière.
Tous ces exemples montrent qu'on ne saurait tenir trop strictement la main à ce qu'aucune des conditions de sûreté requises ne soit négligée. Recevez, monsieur le préfet, l'assurance de ma considération la plus distinguée, Le sous-secrétaire d'État des travaux publics Signé LEGRAND.
Appareils à vapeur.