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PRÉPARATION MÉCANIQUE
ment verticales en XI le gros glisse hors de l'appareil sur le plan incliné p. Les eaux de lavage se rassemblent dans la couronne C qui les verse de même avec le menu sur le plan incliné P. Le gros minerai glissant sur le plan incliné p finit
par tomber sur la table a (Pl. xin. Quant au menu, il est soumis à une classification ultérieure dans le crible conique T. Il se rend dans ce trommel par le canal P r qui n'est que la continuation du plan incliné P. Arrivés là, l'eau et les schl a mms traversent la partie serrée du crible et se rassemblent dans le coursier Z, et de là dans le canal z situé au-dessous. Ce qui n'a pu passer en l traverse le crible en e et tombe sur la table b. Enfin, ce qui n'a pu passer ni en l ni en e sort du trommel
Produits.
et tombe sur la table cl. Ainsi donc, le minerai du wagon W se trouve débourbé et classé par la machine en quatre catégories de grosseur, savoir; 10 Le gros sur la table a. 2° Le moyen sur la table d.
3° Le fin sur la table
b.
40 Les schlamms dans le canal z.
Le numéro i est soumis à un triage et à un
cassage qui donnent : Des gangues à rejeter. Du minerai massif à bocarder à sec. Du minerai à bocarder grossièrement. Du minerai à hocarder à mort. Les numéros 2 et 3 sont conduits sur les tamis à secousse. Service du trommel.
Le numéro 4 se rend dans un étang où les boues se déposent. Avec un ouvrier occupé à décharger les tables dans des brouettes qu'il conduit immédiatement à leur destination, et un second ouvrier occupé
A SCHEIVINITZ ( BASSEHONGRIE ).
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à surveiller l'approvisionnement de la trémie, on Quantité de mipeut élaborer ainsi en douze heures plus de 6o nerai élaborée. mètres cubes de minerai. En passant par la haute Silésie, avant de me Comparaison rendre à Schenanitz , j'avais déjà vu des appareils Men'aPParell
de ce genre établis par M. le bergmeister de Camail dans l'atelier de Friedrich'sWaesche près Tarnowitz. (Voy. la description qu'en a donnée M. .A. Delesse dans la seconde partie de son Mé-
moire sur la préparation mécanique de la galène et de la calamine. Ann. des Mines, 1844, 4esérie , t. VI.) Quoiqu'il ne soit pas rigoureuse-
ment possible de comparer ces deux machines, puisqu'elles travaillent dans des conditions qui ne sont pas exactement les mêmes, je crois cependant que celle de Schemnitz, dont je viens de m'occuper, pourrait être d'un usage plus général. Les frais d'établissement sont peu considérables et sa construction est assez simple pour pouvoir être entreprise partout avec l'aide de simples ouvriers. Enfin, elle travaille plus rapidement et ne consomme pas autant de main-d'uvre que le trommel silésien. Les tamis à secousse (setzsiebe) usités à Schem- Tamisàsecousse.
nitz (Pl. XLV", fig. 6 et 7 ) , sont construits un peu différemment de ceux employés dans d'autres districts métallifères. C'est essentiellement le
manque d'eau qui a motivé cette construction. On se sert des tamis à secousse pour opérer la classification par ordre de richesse des catégories
de minerais n" 2 et 3 obtenus dans l'opération précédente du lavage au trommel. Le tamis a seulement 01°,45 de diamètre, et peut, au moyen
de la disposition connue, se mouvoir verticalement dans son tonneau cylindrique à la manière
.