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5 I. CONDITIONS GÉNÉRALES
DU TRAITEMENT MÉTALLURGIQUE.
lieu le plus central pour la réunicin des minerais indigènes; enfin la configuration du rivage s'y prête parfaitement à la réception des ruinerais indigènes et étrangers transportés par voie de mer, à la distribution de ces minerais dans les usines et à la réexpédition du cuivre métallique. La dé-
Schneider and Co. : elle a figuré pour la première fois sur la liste des acheteurs dans la vente faite à Swansea, le 9 septembre 1847. On a tenté d'établir, sur -le bassin houiller du
pense de ces transports qui, dans tout état de
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Lancashire, près de la rivière Mersey, à proximité du port de Liverpool, un nouveau centre d'usirres à cuivre : on y traite maintenant dans
choses, augmente singulièrement les frais de la fabrication du cuivre, se trouve ici, grâce aux dons de la nature et aux efforts de l'art, réduite au-dessous de ce qui se voit ailleurs pour des distances égales. Les usines sont établies ordinairement dans les points où un cours d'eau vient déboucher à la côte ; les principales sont groupées
deux usines, certains minerais apportés comme lest
sur la rivière de Swansea ; les autres, plus disséminées, sont voisines de Neath-Abbey, d'Aberavon de Tayback, de Llanel ly, etc.Ces fonderies forment
l'île d'Anglesea et dans le Staffordshire, après avoir subi toutes les vicissitudes réservées aux établissements alimentés par un seul gîte minéral, ont perdu en grandepartie leur ancienne im-
une douzaine d'établissements distincts; mais la concurrence qui ne peut être soutenue avec succès que par des personnes disposant de grands ca-
pitaux (§14), a depuis dix ans (époque où j'ai commencé à suivre attentivement les travaux des usines galloises), concentré tons les établissements dans les mains de huit compagnies connues sous les raisons sociales indiquées ci-après: Williams, Foster and Co. Vivian and sons. Sinis , Williams, Neville, Druee and Co. Freeman and Co. English Copper Company. P. Grenfell and sons. Mines Royal. Crown Copper Company.
de retour, de diverses contrées avec lesquelles le port de Liverpool entretient des relations com-
merciales; ruais, privé de plusieurs avantages essentiels, ce groupe ne parait pas appelé à faire une concurrence sérieuse aux usines du pays de Galles. Les fonderies depuis longtemps créées dans
portance; elles n'ont pris aucune part aux progrès extraordinaires qui depuis vingt ans se sont ac-
complis dans le pays de Galles. En résumé, peut considérer la métallurgie de cuivre de la Grande-Bretagne comme concentrée dans le groupe gallois : les huit compagnies dont les noms sont rapportés ci-dessus à peu près suivant
l'ordre d'importance de leurs opérations, livrent au commerce une quantité de cuivre plus grandie que tout ce qui se produit sous forme de métal dans les autres parties des îles Britanniques et dans le reste du monde. Les minerais traités dans les usines galloises Deux origines ont deux origines principales les uns p rovien_ principales des
Une neuvième compagnie a commencé récem-
ment à faire des achats sous la raison sociale
nent des mines du Royaume-Uni ; les autres, de vilrlien.crals de cul-
mines situées dans toutes les régions du globe,