Cette page est protégée. Merci de vous identifier avant de transcrire ou de vous créer préalablement un identifiant.
5o
S 13. CALCUL DES RÉACTIONS.
riser complétement avec les méthodes de calcul, d'approximation, d'interpolation, auxquelles il faut recourir dans tous les cas qui se peuvent présenter. Degré d'approximation at teint
51 1
On a été ainsi conduit à faire abstraction, dans les réactions relatives à plusieurs opérations, de certaines substances dont la présence est fort im-
Je terminerai cet exposé par 'quelques ré-
portante au point de vue technique, mais qui interviennent en trop faible quantité pour être
après dans les dix tableaux correspondant aux
tion ci-dessus indiqué. Tels sont, par exemple : l'arsenic contenu dans les minerais de la preinière classe; les métaux étrangers, étain, nickel, co-
ta- flexions Csur le degré d'approximation que préabulenci,oreesentent les calculs dont le résumé est donné cidans les IO
tallurgiques.
DE LA MÉTHODE GALLOISE.
dix opérations de la méthode galloise. Les analyses chimiques qui servent de point de
départ à la plupart de ces calculs donnent, à
quelques millièmes près, la composition des matières premières et des produits qui ont été effectivement analysés ; mais, pour ne point compli-
quer les calculs outre mesure, on a dû souvent faire abstraction de substances qui n'entrent que pour un petit nombre de millièmes dans la composition des matières ; celle-ci n'est donc généralement déterminée qu'à un demi-centième près. Tous les calculs sont établis ci-après pour la quantité de matières et de produits qui correspondent
au travail d'une semaine; on n'a tenu compte dans les calculs que des dixièmes de tonne : il en résulte que les matières dont la composition est exprimée de la manière la plus exacte sont celles
qui entrent pour vingt tonnes environ dans le travail hebdomadaire ; pour les matières em-
ployées en quantité beaucoup moindre, le détail de la composition n'est point rendu avec une exactitude comparable à celles de l'analyse. C'est le contraire pour les matières employées ou
produites en quantité beaucoup plus grande : pour celles-ci on n'a conservé le dernier chiffre que pour obtenir dans chaque tableau une coïncidence exacte entre tous les nombres.
exprimées en nombres avec le degré d'approxima-
balt, etc., contenus en petites doses dans les mattes plus ou moins affinées, etc. Pour tenir toujours compte de la présence de ces substances dans les matières premières et dans les produits
des diverses opérations, il aurait fallu calculer avec deux décimales tous les nombres des dix tableaux suivants, ce qui eût entraîné des difficultés à peu près insurmontables, et, en tous cas, hors de proportion avec l'utilité qu'on aurait pu retirer des résultats à atteindre. Tels qu'ils sont rédigés, ces tableaux suffisent pour indiquer la proportion relative de toutes les matières qui
concourent essentiellement aux réactions de la méthode galloise, et par conséquent pour asseoir sur de solides bases la description des phénomènes qui 's'y accomplissent ; on ne les améliorerait que médiocrement en y tenant compte des matières accidentelles dont les plus légères traces suffisent pour modifier la qualité commer-
ciale des produits. On peut du reste complétement apprécier l'influence de ces matières par les détails présentés dans les S, 3 à 12.
Tome XIII, 1848.
33