Annales des Mines (1848, série 4, volume 13) [Image 255]

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13. eAt..cuL pgs RÉACTIONS

giste. voyageur ne pourrait jamais réunir les déments d'un tel travail; de telles recherches ne pourraient être entreprises que par les propriétaires de fonderies, qui vraisemblablement n'en apprécieront pas ,de longtemps l'utilité. La quantité d'alumine contenue dans chacune des sept classes de mi-

nerais peut également se déduire, par différence, de l'étude des scories et des fondants de l'opération particulière où les minerais de cette classe sont fondus. Les résultats partiels ainsi obtenus pour les minerais et les fontes dont les scories sont immédiatement repassées dans le travail même,

ne correspondent à la vérité qu'à la période de

travail pendant laquelle auront été observées ces scories; niais ou les rectifie ensuite par interpola-

DE LA MÉTHODE GALLOISE.

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s'appliquent à l'étude des phétto.utènes naturels ; ils ne peuvent , ordinairement,,suivre çlaus les ateliers un plan d'observation .tracé I l'avance. Trop souvent ils doivent se borner à constater un

nombre limité de faits, et s'abstenir d'aller au delà ; ils doivent en outre recourir à un certain nombre de résultats communiqués, qu'ils ne peu-

vent, dans aucun cas, constater eux-mêmes, et qui, par beaucoup de motifs, sont loin d'offrir les garanties d'exactitude que présentent les faits observés dans une intention scientifique'.

Les méthodes de calcul à employer dans

chaque cas sont entièrement subordonnées à la nature des données dont on dispose et au degré de confiance qu'il faut accorder à chacune d'elles.

tion d'après la condition que leur sornme soit égale au résultat déduit, pour l'ensemble des minerais, de l'étude des scories définitivement re-

tent des artifices aussi imprévus que ceux qu'em-

il m'a semblé que le meilleur moyen de prosavants à introduire dans les études reets d'observa- métallurgiques une précision qui leur a fait délion el de calcul. ,fattt jusqu'à ce jour, était de résoudre complétement pour un cas particulier Je programme que je recommande à leur sollicitycle. J'ai pensé aussi qu'en traitant d'une industrie déterminée, il coq7

sultats les plus probables ainsi déduits de données tantôt rigourçuses , tantôt insuffisantes ou douteuses, se vérifient toujours par la condition d'être

jetées. Nécessité de re courir souvent à

des moyens indi- voguer les

venait d'insister sur la solution spéciale qui s'y rapporte plutôt que sur la Méthode générale appli-

cable à tous les cas. Il faut remarquer d'ailleurs que les méthodes les plus générales et les plus directes ne pourront toujours être employées par les savants voués à l'étude de la métallurgie théorique. Ceux-ci ne disposent pas des faits, .ceemee font la plupart des observateurs, qui

Ces méthodes sont aussi irrégulières, et admet-

ploient les géomètres pour intégrer les diverses fonctions: elles tirent un grand secours des tracés graphiques et des approximations ,successives au moyen desquels on tire un résultat moyen dç plusieurs résultats non concordants. Enfin les ré-

conformes aux lois de la composition chimique

des corps et à la condition d'égalité qui doit toujours exister dans le poids des matières premières et des produits de chaque opération métallurgique. Les fonderies du pays de Galles forment certai-

nement l'un des groupes métallurgiques où ce genre de recherches offrait le plus de difficultés: il suffira donc d'étudier attentivement les tableaux placés à la fin de ce paragraphe pour se fawilia-