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" ET DE SES PRODUITS MÉTALLURGIQUES.
SUR LE POUVOIR MAGNÉTIQUE DU FER
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Oxydes provenant du travail du fer : I. avec les cylindres, II. avec le marteau. Poids.
ORIGINE.
MODE DE FABRICATION.
Pouyoir.
I. Cylindres. Oxyde formé par le passage de la verge ronde de om,020 aux cylindres coulée: Magny(ille-Saône).. . température rouge sombre.
Fr. 1,05
18
Id
0,99
17
Id, des largets de quelques centimètres entre les cylindres qui servent à fabri- Villersexel(Hte-Saône). quer la tôle : temp. rouge
0,56
9
0,50
8
0,21
4
.}
2
I
i Id; de petits massiaux de 0m,080 de côté 1 Magny (Hte-Saône). . aux gros cylindres : temp. rouge. . . .
.
l
5
/
Id. de la loupe aux gros cylindres dé- i
grossisseurs immédiateinent à la sortie Villersexelalte-Saône) du four à puddler: terni). rouge-blanc.
2
tn
m'
ses dimensions transversales étaient plus petites, et en particulier pour les n°' i et 2, la verge de om,020, dont la fabrication était arrivée à sa dernière période, n'avait plus que la température du rouge sombre, et de plus elle devait encore être un peu refroidie par le filet d'eau abondant qui humectait les cylindres, tandis que pour le n° 4, et surtout pour le n° 5, le fer était au rouge-blanc et sortait du four à réchauffer ou du four à puddler. Par conséquent on peut dire que le pouvoir magnétique des oxydes qui se forment quand on passe le fer entre des cylindres, est d'autant plus grand que le fer a été travaillé à une température plus basse. II. J'ai opéré ensuite sur les oxydes provenant du martelage du fer dans deux ateliers de serrurerie.
Comme d'après M. Mosander il y aurait deux
oxydes différents des battitures inégalement ma-
IL Marteau. Oxyde dit des battitures provenant du t {' martelage du fer dans un ateli er de i m'---= 64 p. 100 serrurerie.
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gnétiques, et se trouvant l'un à la surface inté1,33 0,90
22
0,72 0,21
12
15
I. On voit par le tableau I que les oxydes qui se forment dans la fabrication du fer par la méthode anglaise ont un pouvoir magnétique qui varie de 18 à 4; mais il est remarquable que les différences qu'ils présentent soient eù relation avec
leur mode de formation. On peut observer en effet que le pouvoir magnétique des oxydes est d'autant plus grand que les dimensions transversales de la pièce de fer cylindrée sont plus petites; mais dans les circonstances dans lesquelles j'ai recueilli ces oxydes, la pièce cylindrée ou laminée avait une température d'autant moins élevée que
rieure de l'écaille, l'autre à sa surface extérieure, j'ai cherché à les séparer à l'aide du barreau aimanté, qui, promené dans la poudre du n° 1, a enlevé facilement 36 p. toc) qui constituaient la
partie la plus magnétique m, tandis que les 64 p. too qui restaient formaient la partie la moins magnétique m'. La même séparation a été faite pour le re et j'ai encore déterminé le pouvoir magnétique2'des deux parties désignées respectivement par m et m'. Le tableau I( montre que pour l'oxyde provenant du travail du fer avec le marteau, la limite inférieure du pouvoir' magnétique est égale à 4 comme pour l'oxyde des cylindres : la limite supérieure est un peu plus élevée ; cela tient sans sans doute à ce que les oxydes essayés provenaient