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1. à cylindres extérieurs.
s° Pour les machines à cylindres extérieurs
A quatre roues couplées : F
(2nt
B
B') r2V-2
A six roues couplées
F= 2° à cylindres intérieurs.
LIMITES A LEUR ASSIGNER.
CONTRE-POIDS DES LOCOMOTIVES,
436
= (3m -I- B
-I- 2W)ret/72.
2° Pour les machines à cylindres intérieurs A quatre roues couplées : F
X
(m
2m'
B
B')rw' V2.
(m
et s'il n'y a pas, dans le sens vertical , de perturbations en masse affectant toute la chaudière , il peut se développer sous l'influence des forces verticales appliquées à la paire de roues motrices, des perturbations partielles aggravées par la facilité avec laquelle le système change de forme dans la région sur laquelle agissent ces for-
ces, par la grande flexibilité qu'on donne à dessein à la machine dans le sens vertical. Je reviendrai tout à l'heure sur cette perturbation spéciale, en considérant les machines complétement équilibrées ou censées telles, qui y sont plus exposées que les autres.
A six roues couplées F
3m'
B
2B')/VV7.
La force perturbatrice verticale est donc beaucoup moindre que la force horizontale, dans les machines à roues indépendantes et dans celle § à roues couplées et à cylindres extérieurs ; mais dans les machines à roues couplées et à cylindres intérieurs, si l'excès des masses d'accouplement fait reparaître une force perturbatrice horizontale, la force verticale excède évidemment celleci de
,P) m'y 2.
(B
II. APPLICATION DES CONTRE-POIDS.
La suppression partielle ou totale des mouvements Suppression des mouvements parasites peut être obtenue de deux manières : i° par Parasites' le défaut de liberté de la machine, en d'autres termes modifier alternativement en plus et en moins la pression des roues motrices sur les rails. La composante verticale de la force due aux manivelles, se transmet tout entière à l'essieu moteur ; mais la force appliquée au centre de gravité de chacune des bielles se décompose entre le manneton et la glissière, de sorte que les deux bielles donnent sur l'essieu moteur une composante seulement égale à (B
Il n'y a pas, verticalement,
La machine est bien moins libre dans le sens vertical
de perturbations que dans l'autre. Son poids et les réactions verticales des O ures.
rails font équilibre aux forces dont F est la résultante, de sorte qu'il n'y a , verticalement , ni recul ni lacet.
Mais la pression des roues motrices sur les rails éprouve une variation (m
B 17;
nô' V2 (*);
(*) ce n'est pas la totalité de la force de recul F qui vient
r.se 1/4) X
L'autre
composante (B - r..' 1/-2) b
appliquée à la chaudière dans le plan normal aux glissières, en leur milieu, se décompose elle-même entre les trois essieux et s'ajoute ainsi aux autres causes qui modifient la répartition du poids suspendu entre les trois couples de points d'appui. ( Voir la note I) En supposant la force perturbatrice verticale de la bielle appliquée entièrement à l'essieu moteur, on exagère beaucoup l'influence de cet organe sur la variation de l'adhérence : l'erreur varie d'ailleurs avec le contingent, sur l'essieu moteur, Provenant des forces appliquées aux glissières, contingent b
dont les limites sont faciles à assigner. TOME III, 1853.
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