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Cube de bois.
Remarques sui' le mouvement
de progression des rails.
très-faible, mais les freins agissent, bien plus puissam-
aussi pour la dernière section (de Rives à Grenoble) du chemin de Saint-Rambert
ment, dans le même sens. Sur la voie montante, la grandeur de l'effort de traction ou en d'autres termes
Longrines : 9-000 x 0",28
o',Itt Traverses (par rail de 6m, 2 intermédiaires de om,15 om,15 sur 2m,50 de long = 0'0,119,5 , et s de
78n",110
de l'action tangentielle des roues motrices sur les rails
joint, de om,28 X o,14 sur 2',50 = om3,0980 ; en tout : 0'3,2105 et par 1m 0'3,035) par 1.000" 35 ,00
attractions exercées par les roues portantes) tend à imprimer aux rails un mouvement rétrograde, c'est-à-dire aussi un mouvement descendant ; les glissements in-
(action bien supérieure dans ce cas à la somme des
1 3.5"3,40
275. On a fait, au Semring, une application particulière des longrines; l'ordre des supports a été interverti; c'est une voie sur traverses, entre-toisées par des longrines inférieures. Cette addition a pour but de combattre la tendance à l'entraînement des éléments dans le sens de la pente ; on l'a jugée nécessaire pour la voie montante comme pour la voie descendante, et probablement avec raison.
La tendance générale des rails, à marcher dans le sens des trains, par suite des ressauts aux joints, est
fort atténuée, si ce n'est supprimée par les éclisses. Les de l'inclinaison roues motrices tendent même à leur imprimer un moudu profil, sur la voie montante vement rétrograde, d'autant plus que les machines sont et sur la voie plus puissantes et marchent plus lentement
- et les roues
descendante. portantes, ainsi que celles des wagons, un mouvement direct. Sur niveau, ces deux actions contraires sont égales en somme, mais leur effet n'est pas nécessairement nul, parce que la première est concentrée sur un seul rail, tandis que la seconde se répartit sur un grand nombre. Si donc le déplacement n'est pas nul sur une voie éclissée et de niveau, il doit être rétrograde. Mais si l'inclinaison est considérable, il n'en est plus de même. Sur la voie descendante, l'action du moteur étant suspendue, toutes les roues agissent de la même manière, et tendent à entraîner les rails; cette action est Influence
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auquel on appliquera le rail américain sur traverses, mais
Voie dia Seniring. l'oie de Se mring
ÉTABLISSEMENT DE LA VOIE. SUPPORTS CONTINUS.
CHEMINS DE FER D'ALLEMAGNE.
séparables de l'accouplement des roues, concourent d'ailleurs au même résultat. L'effet est donc le même sur les deux voies. La nécessité de la consolidation appliquée aux voies du Seinring , peut sans doute être contestée; mais si on
l'admet, c'est je crois à tort qu'on a critiqué le mode d'application. On a reproché aux ingénieurs d'avoir renoncé gratuitement à la continuité des supports; mais placer les rails sur les longrines, c'eût été faire apparaître la tendance au déversement latéral, tendance fort grave dans des courbes de 190 mètres. Le rail travaille
plus sous la charge qu'il ne l'eût fait avec la continuité; mais aussi la stabilité transversale n'est pas compromise. 2711. On a appliqué au rail américain, dans le remaniement des Mode particulier
voies du chemin Badois (entre Carlsruhe et Barlach), un mode sureireah'Lin
de pose particulier, suggéré par le désir d'utiliser des matériaux dont on n'aurait pu sans cela tirer parti. Les longrines reposaient, comme on l'a vu, en tranchées, sur des dés en grès espacés de im,50, et à niveau sur des dés alternant avec des traverses. On a combiné ces deux éléments (fig. 10 ) ; les blocs les plus sains, entaillé sur orn,i0 de hauteur, reçoivent les longrines, débitées en tronçons de orn,57 ; ces supports mixtes sont espacés de 0",56. Ce mode de pose est coûteux, à cause du refouillement des dés ; et d'ailleurs l'expérience ne l'a pas sanctionné. Sur les sections, où la réduction de la largeur a coïncidé avec la substitution immédiate des traverses aux longrines,
Badois.