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20,6,
20,9
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PERTURBATIONS PRODUITES, ETC.
SOURCE DE BOURBONL'ARCHAMBAULT.
de sorte que l'atmosphère arti-
745)
licielle de la salle d'aspiration en renfermerait en volume 20,6-19,1 ,
oo, soit
7,5 p. 100
de moins que l'air at-
SUR LES PERTURBATIONS PRODUITES DANS LE MOUVEMEN DES MACHINES
mosphérique.
Si l'on admet en outre 20 degrés pour la température extérieure et 27 degrés pour celle de la salle d'inhalation, ainsi que cela a souvent eu lieu dans la même saison, les poids relatifs d'oxygène contenus dans le même volume d'air à l'intérieur et à l'extérieur sont respectivement, d'après ce qui a été dit Pour l'intérieur Pour l'extérieur.
NOTE
19,1 (1
26,6
(1
o,00567 )< 20) .= 26,5 o,00367>< 27) -I- 22,6
PAR LES PIÈCES MOBILES DE CES MACHINES. Par M. H..ARNOUX, ingénieur des mines.
Lorsqu'une machine quelconque est arrivée à un mouvement uniforme, cette uniformité peut être troublée par diverses causes et notamment par le mouvement imhue de ses pièces mobiles. Nous voulons examiner ici cette cause de perturbations.
Un malade dont la respiration serait uniformément réglée
aspirerait donc dans le même temps une quantité d'air renfermant en poids
22,6--20,5 22,6
=9,5 p.
100 d'oxygène
en moins dans la salle d'inhalation que dans l'air extérieur.
En somme, il résulte de ce qui précède que la salle d'inhalation provisoire construite sur le réservoir de la source thermale de Bourbon-l'Archambault constitue, par l'effet des gaz et vapeurs qui s'y trouvent mélangés avec l'air atmosphérique, un milieu respiratoire dont la composition chimique et la température peuvent le rendre très-
efficace dans le traitement de certaines maladies. Il y a donc grand intérêt à maintenir une annexe de cette nature
au projet du futur établissement thermal, et à en le plus tôt possible la construction.
réaliser
C'est à l'occasion de l'emploi des locomotives que cette question s'est présentée à l'attention des ingénieurs, et elle a été traitée fréquemment. M. Nollau, ingénieur au chemin de fer du Holstein, l'a traitée, je crois, le premier dans un mé-
moire inséré en février 1848 dans l'EisenbanIt Zeitung (journal des chemins de fer de Stuttgard) . M. Lechâtelier a publié
sur le même sujet un mémoire spécial en 1849. M. Yvon Villarceau a établi rigoureusement pour la première fois les conditions auxquelles on doit satisfaire (Comptes rendus des ingénieurs civils, 1" semestre 1851). M. Résal a présenté
plus simplement les mêmes conditions dans les Annales des mines (2' livraison de 1855). M. Couche, dans la même livraison, a critiqué la règle que l'on suivait dans la pratique pour satisfaire simultanément à deux de ces conditions. Cette règle, en effet, n'était pas exacte. Les conditions principales auxquelles on doit satisfaire sont au nombre de trois ; mais jusqu'ici on a regardé deux de ces conditions comme étant incompatibles entre elles, et l'on a cru aussi que l'une de ces dernières conditions ne TOME VIII, 1865.
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