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436 motifs, ils ont été confondus sur la carte avec les terrains néocomiens. Quoiqu'on rencontre assez fréquemment les argiles noirâtres sur la partie du plateau portlandien comprise entre l'Ornain et la Saulx, le fer géodique repose très-souvent, dans cette région, sur les assises supérieures des terrains ||urassiques. On en trouve des traces presquéji|||i toutes les parties du plateau où Foolithe vacuolaire et les roches gris-verdàtres qui l'avoisinent n'ont pas été enlevées par les dénudations. Il s'y présente avec des épaisseurs et des caractères variables dans les endroits où il n'a pas été dérangé, et plus encore dans ceux où il a été remanié. Dans ces derniers il est le plus ordinairement en grains mêlés de plaquettes et de géodes entières ou brisées, et de matières terreuses de nature très-variée qui exercent une grande influence sur la fusibilité et le rendement des minerais. La grande minière d'Hévilliers est, dans celle région, un des plus beaux gisements où le fer géodique se rencontre dans sa position primitive. 11 y repose sur les calcaires portlandiens qu'il a colorés, sur une certaine épaissSir, en rouge lie de vin ou en violet foncé. Il est en grains oolithiques fins dans une marne grise ou blanche, divisée par des veines ou plaquettes compactes qui traversent la masse avec une certaine régularité. Elles sont obliques, mais presque parallèles entre elles, et recoupées par d'autres plaquettes à peu près horizontales, ce qui divise la tranche de la minière en parallélogrammes. L'épaisseur du dépôt est de 6 à 8 m et même de 8,40 au point le plus élevé. Les ouvriers appellent la. mine
