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MACIII/VES
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où cette eau doit être versée : le tuyau montant a son extrémité inférieure plongée dans l'eau du bassin. auC C est le canal courbé circulairement près de J. A chaque bout ou tour du réservoir d'archaque bout, sont adaptés une soupape rêt B, qui s'ouvre extérieurement et un tube de communication avec le réservoir d'air. Ce tube est muni d'une soupape d'ascension qui
plir d'eau le tuyau montant et le canal ou tuyau principal. 25. Dans la fig . 12 , le canal circulaire et le
l'eau quand le tuyau montant en est rempli. La section perpendiculaire à l'axe de ce tuyau carrée est représentée circulaire, elle peut être joints à la Le plan et le profil, ou polygonale. des soupapes d'arrê t fig. io, font voir la position et d'ascension. Pour mettre en. jeu cette machine, on a fixé
servoir. Les mêmes lettres dans cette 11,5. Ture , indiquent les mêmes objets que clans la jzg.
s'ouvre en dedans du canal : D est le tuyau montant : en 0 est une soupape dormante qui s'ouvre de bas en haut , et qui sert à retenir
sur le tuyau montant D, qui sert d'axe, une
double poulie P, sur laquelle sont enveloppées les deux cordes Q et R. Ces cordes étant tirées tour-à-tour ,font tourner l'appareil alternativement dans deux sens opposés, et l'eau sort à chaque coup par l'une ou l'a-utre extrémité du canal. M. Boulton pense que la vitesse la plus convenable qu'il faut imprimer aux cordes, doit être telle qu'il y ait 3o oscillations par minute dans chaque direction. On remarquera aisément que cètte machine ne peut servir que pour des hauteurs qui n'ex-. cèdent pas 9 à ro mètres, et qu'il est à propos, quand on commence à la faire jouer, de rem-
,
Seconde
réservoir d'air sont adaptés au bas du tuyau disposition. montant, de manière que le canal soit entièrement plongé dans l'eau qu'il s'agit d'élever. Des soupapes d'arrêt sont placées aux deux extrémités de ce canal, comme dans lajig. ii , mais elles s'ouvrent en dedans. Deux tubes de communication sont aussi insérés entre les bouts du canal et le réservoir d'air, et ils sont munis de soupapes d'ascension qui s'ouvrent dans le réLes mêmes moyens peuvent servir à donner le mouvement à la machine.
Nos lecteurs n'auront pas manqué d'observer que la machine , Jig. 11 , est du même genre que celle que nous avons décrite, 5. II, fig. 3. Dans celle-ci l'eau parcourt la longueur d'un tuyau fixe, et aspire l'eau d'un bassin inférieur, comme ferait un piston qui serait mu dans la même direction que le courant. Dans celle4à , lorsque le tuyau mobile rétrograde, l'eau qu'il renferme obéit au premier mouvement qu'elle a reçu, et met en jeu le poids de l'atmosphère, comme dans le cas qui précède.
Observa-
tions sur les deux dispositions de la septième machine.
Quant à la machine de la fg. ma, elle n'est évidemment qu'une variété de la précédente. Ces machines ont beaucoup de rapport
machine
avec le double serpenteau du Cit. Viallon, dont d'i Citoyen