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SUR LA CHALEUR: l'air ; j'ai trouvé plusieurs fois de suite que les -variations de température , indiquées par les deux instrumens , étaient, 2°. 8 suivant le plus
ET LE FROID, etc.
(")
petit, et 2'.2 suivant le plus grand. Expérience 3. Répétant ensuite la même expérience avec le petit thermomètre, placé dans trois circonstances différentes, 10. la boule étant au centre du récipient ; 2°. la boule reposant sur le cuir humide de la machine pneumatique ; et 30. la boule étant près des parois du récipient Premier cas, en faisant le vide, le thermode 2°. 45 mètre baissa de 2 .15 Deuxième cas de 1 .20 Troisième cas Premier cas, en faisant rentrer l'air, de 4 . 05. il monta . de 2 .25 Deuxième cas. de 2 . Troisième cas-
.
Expérience 4. Ayant renfermé sous le récipient un verre à vin, contenant un ponce cubique d'eau dans laquelle plongeait la boule du thermomètre, Le thermomètre baissa sur-le,on raréfia Champ d'u11-!idegré , et resta ensuite station-
26/ effets est trop courte, pour produire un grand changement dans la température du mercure. Les expériences suivantes ont eu pour objet de déterminer quel peut être le véritable degré de chaleur ou de froid produit dans ces opérations. Expérience On se servit du même récipient et du petit thermomètre. On fit le vide en une minute, le thermomètre baissa presque de 2. dans la première demi-minute, et environ un -A de degré dans la seconde demi-minute. On arrêta l'opération , et les choses restant dans le même état, il fallut plusieurs minutes de tems pour que le thermomètre reprît toute la chaleur qu'il avait perdue. On ouvrit ensuite le robinet, le récipient fut rempli d'air en quatre secondes, et la plus grande vitesse de l'ascension du mer-
cure, dans le thermomètre , eut lieu dans le même teins. Le mercure continua à monter pendant 3o ou 4o secondes, à partir du commencement , mais les de l'effet total étaient produits dans les dix premières secondes. L'élévation la plus rapide du mercure a été -1 degré en 3 secondes. Après que le thermomètre eut atteint sa plus grande hauteur, il commença
à baisser à raison d'un dixième de degré par
naire tant 'qu'on. continua d'épuiser l'air. La rentrée de l'air fit subitement monter le Iller-
minute.
Momètre d'un
On prit le même thermomètre, et ayant élevé sa température de 5o° au-dessus de celle de l'air ambiant on le laissa refroidir peu-à-peu à
degré. Toutes ces expériences
'confirment l'opinion que j'ai, que la chaleur ou le froid , produit dans- ces différens cas, est beaucoup plus considérable que le thermo, mais que la durée de ces mètre ne
l'air libre
Expérience 6.
, et il commença a baisser à raison ee 1° en 3 secondes.