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Seconds écumages
(l).
Derniers écumages
n'lés de Inharge.
01.111ATIONS QUI S'EXCUTENT
et demeurent ensuite en repos jusqu'à ce que le bain ait été totalement masqué par de nouvelles écumes, si ce n'est au voisinage de la buse d'où le vent les chasse. La température du fourneau qui était capable de donner au bain de métal une teinte rouge jaune-11re , est baissée un peu avant le moment où l'on enlève de nouveaux écumages, si l'affineur juge qu'ils n'ont pas assez de consistance pour être tirés hors du fourneau, comme on a fait des premiers. L'écumage se renouvelle ainsi cinq , six, et jusqu'à sept fois, avant que le plomb ne se conyertisse visiblement en litharge (2); celle-ci se reconnat a. son brillant particulier , et à sa belle couleur rouge; son apparition détermine à pousser le fei* avec un peu plus d'activité ,
et une manoeuvre particulière de la part de
l'affineur. Il doit redresser le papillon de la 'yds&
d'une légère quantité, pour que le vent frappe une plus grande surface; nettoyer le passage des litharges , sali ou dégradé pendant l'écumage, et y former avec Je couteau crochu, n°. 18 ( pl. XI), une rigole profonde d'un-pouce environ, légèrement inclinée vers le sol de l'atelier, et assez profonde pu' que sa naissance soit au niveau de la litharb e qui nage sur le bain de métal.
Veinellr, qui a toujours prés de lui des
cendres pétries avec de l'eau , pour remédier
aux dégradations fréquentes du pic, est
continuellement muni drt couteau crochu , dont il tire un grand parti, soit qu'il einPloie le cro(i) Les seconds écumages se forment vers la neuvième jicure du travail. (a) Le fourneau est alors en feu depuis 15 à 16 heures.
21.5 A PRI bÈbOt.11,-L A OU EN. chet 'à enlever leSniatières qui se sont attachées A
au fond de la rigole , soit qu'il se serve du plat du couteau pour appliqueSdes cendres neuves partout où le plomb peut réchapper du bain ou enfin du tranchant pour approfondir la , et disposer convenablement les cendres neuves qui y ont été déposées. S'il arrive que les bords de la coupelle euxmêmes soient fortement endommagés, on les répare avec un mélange de cendre humide, et de débris d'anciennes coupelles broyés. Les quantités qu'on à recueillies des premiers "èt des seconds écumag;es, sont à-peu-près égales ,' mais celle des derniers écumages est beaucoup moins considérable. On commence à mettre les produits dé l'affinage au rang des litharp,es, vers la dix-septième heure d-ri travail. La chauffe doit, à compter de cette époque être alimentée avec. le plus grand soin ; et uniquement d'après les ordres que l'affineur donne dtiS: faiseurs de feu. La -
flamme qui se dégagé de la chauffe ne doit plus éclairer le bain que par intervalles ; souvent la fumée l'obscurcit totalement ; sa couleur doit être le rouge cerise terne (1). Ou ranime le feu t'optes les fois que la consistance des lithargeS s'oppose à leur libre écoulement.
Le premier quinte de litharge que l'on recueille est toujours mélangé d'oeuvre ; on le met à part pour le réunir aux matières qui doivent être passé e§ au..fburneau à manche.
(I) La température sur le po a de la Chauffe peut varier entre 3 et 5Oo degrés. ( Voyez ios épériences rapportés
-,danS le rze. tome d.' ce Journal - pagé 2:7 2 ) .
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PremièreS
litharges
avec mélanges d'écu..mages.