Journal des Mines (1806, volume 19) [Image 180]

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MESURE DES-FIAUTE,IIRS. » inévitables des observations , et" celles qui ré... sultent des attractions inconnues des monta gnes , de l'état hygrom.étriqn e de l'air, auquel

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il serait nécessaire d'avoir égard, et enfin de

I

11

'1,11111,

11

11

)) l'hypothèse adaptée sur la loi de la climnution. D). de la chaleur. On tiendrait compte en partie, , en augmende l'état hygrométrique de

tant un peu le coefficient 0,00375 de dans la formule précédente ; car la vapeur aqueuse est plus légère que l'air, et croissement de la température en accroit la quantité , toutes choses égales d'ailleurs. Je .? trouve que l'on satisfait assez bien à l'ensem. bic des observations, en employant dans cette » formule, au lieu 0,00375 , la quantité 2(t+r, )

73ce qui donne pour équation finale. 1.00 .i.=.1.8336m.(1-1-o,002

[(1

(1.-k;,6oeecoss. 2L)

H

T T -1-fo,8685891

log. h

77i7;)

Cette formule doit être regardée comme le der-

nier mot du calcul et de l'observation sur la mesure des hauteurs par le baromètre (1).

(I) Si l'en voUlait faire servir dans les mineS' le barômètra mesurer des profondeurs, on emploirait la formnle ordinaire où l'on suppose la pesanteur constante , en diminuant un peu le coefficient, parce que ces profondeurs n'excèdent guère 4,5, 600 mètres. La formule, avec le coefficient con'enable à la hauteur de 373 mèt. , serait

836 me.( + 0,002 ( t

log'

Dans lé facteur affecté du doublé signe , le signe

sera

IP

AR LE EAROMITRE, etc.

III.

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Peu de teins après la découverte de la pesauteur de l'air et de la cause qui soutient le imaginés mercure dans le baromètre, Pascal, Descartes

.ppahrysdiicieeris, et quelques autres savans , entrevirent que cet Polir raire

servir le baromètre à la pris lorsque la température, à la stationhors de la mine, sera mesure deo hauteurs. plus grande qu'à la station intérieure.

Si l'on voulait avoir égard à la variation de pesanteur , et que l'on fût au-dessous du niveau de la mer, il faudrait observer que la pesanteur, dans l'intérieur de la terre, ne suit plus le rapport inverse du carré des distances, mais la rapport direct des simples distances. En efiét,:lcirsqu'uri corps est placé dans l'intérieur d'une enveloppe sphérique , la résultante de toutes les attractions des parties de l'enveloppe sur ce corps est zéro, et il reste en équilibre (Haiiy,, Traité de Physique, §. 294). Ainsi les particules c'e matière qui sont dans l'intérieur du globe, n'éprouvent aucune action attractive de toutes les parties plus éloignées du centre qu'elles; on peut donc faire abstraction de ces parties , et. supposer le corps que l'on considère, comme placé à la surface d'une sphère plus petite, dont le rayon (r) serait la distance de ce corps au centre de la grande sphère : dans cette supposition , l'attraction qu'il éprouverait étant en raison directe de la masse de la sphère, et en raison inverse du carré de sa distance au centre , serait proportionnelle à , simplement à r, c'est-à-dire, à la distance. Dans le cas où le baromètre est employé dans les mines , la température n'étant plus une fonction de x, et ne paraissant sujette à aucune loi , n'entrera pas dans l'équation de plus, comme les pressions augmentent à mesure que les x augmentent, les deux membres de l'équation fondamentale auront le même signe, et cette équation sera

d P= d x .-7g

ou en intégrant et déterminant là constante ,de la même manière que ci-dessus

fgdx--..KM

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