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sur, LES MACHINES qu'on peut 23. Cet accord, tout aussi exact calcul et ceux du le désirer entre les résultats autorise à conclure que de l'observation, nous machines d 'épour avoir la vraie charge des , faut e dans les mines puisenzeizt en (exprimée multiplier la hase de chaque piston la pompe à laen mètres) par la hauteur de myriagr. ;
186 Conclusion.
quelle il appartient , et par zoo la somme sommer ces produits, augmenter des tira us d'un douzième, et ajouter le poids et des pistons (1).
l'accord qui règne J'observerai à ceux qui, frappés del'observation, pourdu calcul et ceux de entre les résultats manière à l'ohpris mes données de raient penser que j'ai données tenir ; je leur observerai , dis-je, qu'aucune de ces m'ont n'a été à ma disposition. Les résultats de l'expérience poids des colonnes d'eau été envoyés par M. Duchesne; ledéterminé d'après le prinportées par 'chaque piston , est de la théorie des le plus élémentaire cipe le plus certain et 6,7 et o,o83 ) qui pompes aspirantes; les deux quantités ( résistances dépendu piston, et les expriment le frottement de deux formules de dantes de la vitesse, sont déduitesautre auteur qui en ait Langsdorff, , et je ne connois aucun donné sur ces mêmes objets.
SECONDE PARTIE. l'eau Du rapport entre l'effet produit et dépensée.
Partie,
24. Nous allons, dans cette seconde chercher proe. Une expression analytique dedel'effet la nature duit par une machine hydraulique de celui (D Lie poids de chaque piston doit etre diminué de la quantité d'eau qu'il déplace.
187 HYDRAULIQUES; de celle sur laquelle nous avons fait nos expériences , et nous en ferons une application à ces
expériences. 2.. une formule, à l'aide de laquelle on puisse déterminer la quantité d'eau motrice nécessaire pour produire un effet donné. 3'. Nous comparerons ensuite les résultats de cette formule avec ceux de l'expérience , et nous donnerons quelques conséquences tirées de cette comparaison.
J'aurais désiré que le tems m'et'it permis et de multiplier les expériences, et de Lire ensuite les calculs et recherches convenables pour arriver à une théorie propre à donner, s,les cas , des résultats suffisamment exacts pour dansratioiclii,,e 25. Qu'on me permette, avant d'aller plus loin, quelques Effet pro-, observations sur l'effet des roues à augets ; elles me sont doit par les suggérées par le titre de cette seconde Partie. Tout effet est en général proportionnel à la cause qui le; à auproduit ; et il parait, d'après cela , que l'effet des machines mues par le poids de l'eau , doit être proportionnel au poids du fluide qu'elles portent, et par conséquent à la quantité d'eau motrice qu'elles dépensent. Mais il faut observer que le fluide que porte une roue à augets, et qui la meut n'agit pas par son poids absolu mais seulement par la pression qu'il exerce contre les parties qui s'opposent à sa chûte , c'est-à-dire qui Perripêchent de prendre la vitesse que la pesanteur communique, ou tend à communiquer, à tous les corps 'dans leur chiite. Or, il est évident que plus la vitesse de la machine sera grande ( plus les augets fuiront vite devant l'eau qui les presse ) , moins la pression sera forte, et moins la même quantité d'eau devra produire d'effet. On voit encore que lorsqu'une roue en mouvement porte toujours une même quantité d'eau, sa dépense est proportionnelle à sa vitesse. Supposons maintenant deux roues d'égales dimensions
portant chacune une même quantité d'eau ; mais que la seconde ait une vitesse double de la première : elle dépensera.
deux fois plus, et cependant son effet ne sera pas double; car , d'après les premiers principes de la dynamique,