Journal des Mines (1807, volume 21) [Image 115]

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SUR LES MACHINES

II1CDR A l'II QU ES.

Le volume de l'auget, dont .c exprime la

capacité est limité , 1°. et 2'. , par les deux; couronnes de la roue ; 30 par la planche du fond ; 4°. par une seconde planche placée sur un bord de la première , dans la direction du rayon de la roue-, et qui va jusqu'au tiers- de la profondeur de l'auget; 50. par une troisième,

placée sur l'autre bord de la première, de

mêmes dimensions que la seconde , mais que l'on imagine prolongée jusqu'au bord extérieur de la roue ; 60. enfin, par une quatrième qui joint l'extrémité de ce prolongement, avec le bord de la seconde. Ce volume calculé exactement, d'après toutes les règles de la stéréométrie, donne c 0,06824 m. cub. (Pour avoir

la capacité entière d'un auget, c'est-à-dire toute l'eau qu'il peut contenir , il faut ajouter un prisme triangulaire égal à 0,0277 m. cub.) D'après la construction de la roue, on a d, =-0,3882m.d=-0,366, 1=-1,082 ,p=o,3248 ,

Q, =0,0633 m. cub. ; ce quidonne q ,-_-_o,009585

44° 13'. mèt. cub. , et Ainsi, la Moyenne entre le commencement

et la fin du -versenient sera de 37° 54° : le sinus -verse (b) de cet arc, dans un cercle oit ic rayon est de 5,468 mèt. est 2,107 mèt. D'après cela D' = 9,746 m. (i) . La disposition CO J'observerai que les valeurs extrêmes de D, ne diffè-

ra.nt pas de *. On peut , dans la pratique , regarder cette quantité commeconstanteila moyenne de ces valeurs (9,68

sera les 0,89 du diamètre 2R , ou Les o,85 à-peu-près les , du 'tirai diamètre (ii,37 lu.) de la roue.

de

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de la. machin e donne

ou

(1); ainsi, fr'"g (1),-.Fa) 13,97 ni. Mettant ces valeurs dans

de Q, on aura

l'expression

Q =0,0659 mèt. euh. C'est d'une,manière semblable que nous avons

calculé, pour chacune de nos expériences, les quantités d'eau indiquées dans la colonne -VII du tableau général (page 231). 58. Le moyen le plus simple peut-être et le plus exact que nous eussions de connaître la

Quanti,6 Pée,"11,'(riï,1,',-.

dépense , en eau motrice , faite par la roue Périence dans chacune de nos expériences , était de ras-,

sembler l'eau dans un réservoir, de l'y entre:tenir constamment au même niveau,

niveau et de l'en faire sortir par un pertuis dont les

seraient déterminées, et dont la hauteur serait petite par rapport à celle du fluide dans le réservoir. A cet effet, M. Duchesne fit dresser et et réparer la vanne qui devait fermer et régler l'ouverture du pertuis il laissa l'eau s'élever dans le large canal (presque horizontal ) qui la conduit à la machine , jusqu'à une hauteur de 0,3 à 0,4 mèt. : de cette manière, elle y était entièrement stagnante, jusqu'à une distance de plus de cent pas. Ainsi, elle ne sortait dé cette espèce de réservoir, lorsqu'on levait un peu la. vanne, qu'en vertu de sa . suie pression ,-ce

() De nouveaux renseignemens que M. Duchesne- M'a envoyés donnent à a une valeur un peu plus grande, et à b une valeur un peu: plus petite; ainsi la somme a + b reste la

même. Quant à h,. ils le portent à o,5 m au lieu de 0, 2

ce qui au reite.né.donne .pas , dan.; l'eXpérienO,, ri.. 7 une différence de dans la valeur de e, et dé 7:-7; dans celle de Q.

Volume 21.