Journal des Mines (1808, volume 24) [Image 178]

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DESCRIPTION

etc

assuré par un échantillon bien caraCtérisé que je possède. Le cuivre phosphaté n'est pas enfièrement opaque , mais translucide quand il est en petits fragmens. Les caractères que j'ai cru apercevoir , et les observations que j'y

joins , sont les résultats des essais plusieurs fois répétés sur les échantillons variés, que j'ai recueillis sur la mine, dans le séjour que j'y ai fait dernièrement.

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DE

LA MESURE DES HAUTEURS PAR LE BAROMÈTRE.

PA rt. Ali toutes les formules qu'on a données jusqu'ici pour faire .servir le baromètre à la mesure des hauteurs', celle qui réunit le plus

de simplicité à} une exactitude suffisante. pour la pratique est due à M. Laplace. Nous aillons

l'exposer d'une manière très-élémentaire. Imaginons deux peints clans l'atmosphère et qu'il s'agisse de déterminer la hauteur de l'un au-dessus de l'autre. Soit a l'élévation du premier au-dessus d.-u niveau de la mer, et celle du .; second la hauteur cherchée sera

,

.

.On sait, par les premiers élémens de la phy. que .l'air atmosphérique se comprime

signe

proportionnellement aux poids dont il est chargé; et que, d'après cela , si l'on suppose l'atmosphère divisée en tranches horizontales, et d'é-

gale épaisseur, leur densité, à mesure qu'on s'élève, décroît en progression géométrique (1). De plus , les hauteurs correspondantes aux(I) Haüy. Traité de Physique, tom. I.

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