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SUR LES MINES DE HOUILLE , etc.
plus éloignées, pour lesquels le prix du transport serait déjà un renchérissement assez con-
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sidérable. Lés habitans de Sarrebriick sont
JOURNAL DES MINES.
maintenant Français comme leurs voisins, et il n'existe aucun motif pour leur accorder un privilége onéreux à leurs concitoyens, et même au Gouvernement qui ne peut exiger des concessionnaires qu'une redevance proportionnée
N°. i5o. JUIN 1809.
au bénéfice que ceux-ci retirent de leurs exploitations. lime semble donc, que quelle que soit la manière dont le Gouvernement diposera des mines de Sa.rrebriick , les affouages des communes devraient être considérablement réduits, et qu'il ne devrait peut-être leur en être accordés que pour les etablissemens publics et les pauvres.
RAPPORT SUR UNE SONDE DE MER, Fait à la Classe des Sciences mathématiques et physiques de l'Institut, par M. L'Évi QUE .ZUembre de l'Institut, Examinateur de la Marine. La Classe m'a chargé de lui rendre un compte verbal d'un ouvrage intitulé
Description d'une Sonde de Mer, ou Bathomètre , qui pourra sonder toutes les profondeurs de la .Mer; Par A. Van Stipriaan Luïscius , Médecin et Lecteur en Chimie à Delft.
CETTE Description est précédée d'un coup_ d'oeil géologique sur la terre, et est dédiée à toutes les Puissances du monde policé, qui par leur proximité des différentes mers , par le
nombre de leurs vaisseaux et par le désir de faire de nouvelles découvertes , réunissent le pouvoir à la volonté, pour seconder efficacement les entreprises destinées à étendre diverses Folume 25. Cc