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DE LA CRISTALLISATION.
que successivement, et la forme et la grandeur sont déjà déterminées par leà premiers globules de formation qui s'unissent. Si autour de cha-
dans le cas du décroissement de l'attraction dans la raison inverse simple de la distance.
cun des deux globules a , b, Jz.7 , il s'en ajoute quatre autres no. 2,, en ce cas les globules a et b forment déjà un cristal parfait un rhomboèdre, que l'on doit regarder comme le germe de tout le cristal , étant le moindre possible qui puisse naître , d'après les condi-
Enfin le rapport de ce décroissement d'attraction avec la distance du centre , dépend encore beaucoup de l'attraction qu'exerce le dissolvant sur la matière qui cristallise ; car si cette attraction est grande, son effet diminuera l'attraction réciproque des globules (S 1.3) , et
il y aura déjà un globule de plus au
alors cette diminution aura lieu principalement sur ceux qui sont situés aux extrémités du 'Cris,
tions que l'on a supposées ici. Or si les globules no. 3 se réunissent autour des précédeus
ni
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dépend le rapport entre s b et c s Efi. 9 ). Ces deux lignes ne peuvent être égales que
,
milieu; il y en. aura deux de plus à la réunion des globules ri.°. 5 , et ainsi de suite , jusqu'à ce que la partie supérieure de la superposition, d'après la. loi que l'on a supposée avoir lieu ici, soit également éloignée du centre que la partie extérieure latérale du cristal.
tai. Cette loi de diminution d'attraction sera
expliquée plus bas par un exemple tiré du cube.'
C'est aussi de la même loi que dépend une
grande partie de la force qu'une différence de température produit pour changer la. forme
cristalline secondaire. Supposons, par exemple, que deux substances contiennent les mêmes parties constituantes et des molécules intégrantes semblables , comme les Variétés du spath calcaire ; mais admettons en même teins que la température que ces deux, substances exigent pour être dissoutes et cristallisées , soit différente , à cause de l'attraction différente du dis-.' solvant, dans ce cas la loi de superposition recevra déjà des modifications ; conséquemment
Les lois des décroissemens des molécules intégrantes dépendent ainsi de la loi que suit leur attraction, relativement à leur distance, du cen-
tre d'attraction , laquelle loi est fondée
, elle-
même , dans la détermination de la position du
centre d'attraction à l'égard de chaque molécule intégrante , et dans l'action réciproque de leurs plans (s. 20). Ainsi les lois de décroisse-
mens devront varier suivant les valeurs de ces différentes basesdont elles dépendent, et pour parler le langage cristallographique , il y aura, suivant les différens cas , des décroissemens
il y aura des différences dans les.forrnes cristallines secondaires. On voit d'ailleurs que la marche de la nature dans cette superposition èsi différente , et peut-
par deux rangées ou plus, en hauteur ou en largeur.
être l'inverse de celle que suit la cristallogra-
L'épaisseur du cristal ; ou ses dimensions en largeur , sont aussi un résultat de la hauteur dé la superposition , vu que c'eS-t d'elle que
phie , qui prend pour noyau un cristal déjà dei-
ment forme , ét qui y ajoute pour ainsi dire, X'4
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