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SUR LE CARACTÈRE PRINCIPAL 422 les faces o (J(1.; g112 et 113). Les uns et les autres
paraissent convenir.égaletnen t pour constituer la forme primitive ., et il n'est pas facile de se décider dans le choix. En. général, supposez un octaèdre à pyramides droites à base rectangle oblongue, composé de deux couples de plans de manière que deui plans opposés contigus au même sommet correspondent à un autre couple de plans contigus au sommet inférieur, et que les deux autres plans opposés qui séparent les premiers correspondent également à un autre couple de plans ; par les quatre bords terminaux (ceux qui se réunissent au sommet) , soient menés deux nouveaux plans, chacun d'eux passant
par deux de ces bords qui sont opposés , ce troisième couple de plans, ou leurs parallèles, pourront être substitués à l'un des deux premiers couples dans l'octaèdre , et il en résultera un autre octaèdre dont on pourra faire
dériver tous les plans secondaires de la même manière que du premier. C'est-là le rapport qui existe entre les plans Liaisons qui existent M, A et Ede la baryte sulfaté. Si deux quelentre les trois octaè- conques de ces couples de plans forment un dres que octaèdre , le troisième couple sera parallèle P"" 1""t obtenir. Leurs rap- aux deux sections par deux 'bords terminaux ports seront opposés et par l'axe. Chaque couple de plan inverses. combiné avec l'un ou avec l'autre des deux autres couples pour former un octaèdre , conservera dans ces deux octaèdres les angles linéaires qui lui sont propres. Les triangles qu'il formera dans l'un ou l'autre de ces deux, octaèdres seront semblables , mais dans une
DES CRISTAUX.
423 position opposée et inverse. Les sinus et cosinus
des incidences des plans dans chaque combinaison octaèdre seront exprimés par les mêmes valeurs, mais dans un rapport inverse, comme on le verra par le tableau suivant, et les notes qui y sont jointes.
Nous ne nous étendrons pas davantage sur les motifs de préférer un plan à un autre, pour composer la forme primitive ; car ce sont deux
choses différentes de fixer la position de la forme*primitive , ou de déterminer le caractère géométrique principal d'une forme primitive dont on a reconnu la position. Nous nous oc-
Cette difficulté dans le choix sera résolue ailleurs.
cuperons ailleurs des moyens de résoudre ces
difficultés qui peuvent, encore entraîner de
" l'incertitude dans le choix des plans primitifs. Nous nous contenterons d'observer en gé- Règles général que la cassure lamelleuse pourra rare- nerales qui ment décider la question. On y parviendra plus pgeniiiive7.tLe
sûrement en examinant les couples de plans cl,iztge un entre lesquels on a lieu d'hésiter, soit sous le nniatit.pdaes rapport des liaisons plus intimes et moins ar p aénférteurnu bitraires qui peuvent exister entre chacun d'eux, 1autre.
et le couple de plans primitifs déjà trouvé, soit relativement à. la facilité d'en faire dériver toute
la série des plans secondaires de manière 4 obtenir, de cet examen des considérations qui
tendent à la fois à 'faire admettre l'un et rejeter l'autre. En outre, l'observation du phénomène de la double réfraction pourra servir à déterminer la position de l'axe de la forme cristalline. Réunissons maintenant en un seul tableau
les rapports des sinus au cosinus des incidences des plans à l'axe dans toutes les espèces Dd4
Tableau général des caractères
géolnétri, q nes de