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CONSIDERATIONS GÉNiRALES
arrive dans le bélier hydraulique, dans les fusils à vent, etc. Enfin, il pourra attacher le fardeau à un piston de grande dimension sous lequel il
presserait de l'eau avec un piston plus petit,
comme dans la pressé hydraulique. Mais dans
tous les cas ,fP dp sera toujours plus grand
que.fQ dg , de sorte que ce que l'homme gagnera en force, il le perdra en espace ( sans parler des pertes d'effet particulières à la machine employée ) , et il ne sera pas possible de sortir de ce cercle. Ordinairement on dit: on perd en force ce qu'on gagne en teins ou en vitesse ; mais il vaut mieux yconsidérer l'espace que la vitesse qui,
en général , n'est pas constante pendant le mouvement. Nous avons prouvé que le moment d'activité
de la résistance ne pouvait pas devenir plus
dr,?sdséibeioluit_é
,riir un nio- grand que le moment d'activité consommé par ti,eteur,l'7,Pél tif pour te cro4re,
ft puissance, ou la moitié de la force vive,
quand la machine était mue par une quantité de mouvement, et qu'il était donc impossible de produire ce qu'on a appelé le mouvement perpétuel.
La question ne serait plus absurde, si on
se proposait de trouver des moteurs perpétuels
pour un point quelconque de la terre, et si
cette question avait été poursuivie avec autant d'ardeur que la question précédente, et si des recherches fondées sur les propriétés chimiques .et physiques des corps avaient été dirigées vers
"-Ce but, on peut croire qu'elles auraient été suivies, du succès.
r
SUR LES MACHINES EN MOUVEMENT.
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La nature dans les mouvemens perpétuels qu'elle reproduit sans cesse sous nos yeux,
semble, nous en indiquer la possibilité.
L'action chimique, modifiée et influencée par des causes physiques, comme le calorique, la presla' lumière, l'électricité, la pesanteur, causes qui sont sion atmosphérique, et autres opère un cercle conplus ou moins variables,
tinuel de compositions et de décompositions, et fait passer successivement une infinité de corps de l'état solide ou liquide à l'état gazeux, pour les ramener ensuite à leur état précédent.
Les végétaux et les animaux opèrent ces
transmutations dans les corps ; des fluides de toute espèce résultent des combustions, des putréfactions, ou d'autres décompositions quelpour conques, s'exhalent dans l'atmosphère d'autreS être ensuite rendus à la terre sous états.
L'eau, par l' action de l'air et du cabrique, s'élève au haut de l'atmosphère ; à ce
point l'action, étant modifié par un changement de température, et par d'autres causes physitombe ques, elle redevient à son état liquide, à la mer. De sur les hauteurs d'où elle se rend de l'action tous ces phénomènes compliqués chimique et des forces physiques, il résulte de pression des connais d'air, des, différences des courans dans l'atmosphère, des chutes et fait servir de
d'eau qu'on utilise et qu'on
moteur. Donc si on parvenait, en combinant conveforces nablement l'action chimique avec les