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ET A ESSIEUX CleVERGENTS DE M. RARCHAERT.
LOCOMOTLVE A ADHÉRENCE TOTALE
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et, si nous remarquons que 00" est très-sensiblement égal à Q'H
s -- ou -,2 l'ordonnée du point 0, de la droite MN, qui se 2
projette en 0, sera c
h+ 2
><
cb
><
2
4=_-
2b
(lbX
1 -I- 21d
z 2
ab ' 1
I
21d
ce qu'on peut écrire, en négligeant les quantités très-petites du second ordre en E E
4b
on conclut de là pour la distance 010. des deux points et 0, des droites PQ' et MN, qui se projettent en 0",
0,02=
01
rd)
En faisant s = 17, donnant d'autre part à la valeur xcessive de 4o, et remplaçant b, 1 et d par leurs valeurs précédemment indiquées, on obtient
0,00=
0 ><
4 ><85o
425
Soox600
)
=
X 1,4 = 0",28.
On peut donc être assuré de trouver toujours, dans le jeu des articulations, les ressources nécessaires pour parer à cette petite incompatibilité des liaisons, qui d'ailleurs ne pourrait se présenter que dans des conditions tout à fait accidentelles et à laquelle nous avons attribué, une valeur exagérée. Par conséquent, on peut admettre sans hésitation, en pratique, que la droite qui joint les milieux des axes des essieux coudés rencontre toujours l'axe du faux essieu, quelles que soient les inégalités de la voie. On peut
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admettre également, ainsi qu'il résulte de la théorie exposée dans la première partie de ce chapitre, que les variations que subissent les distances PO et OQ, quand elles deviennent, soit P'01 et O'Q', soit PO" et 0"Q', n'ont aucune importance. On est donc en droit de conclure que les cen-
tres des trois cercles que décrivent les extrémités et le milieu de la bielle de transmission, peuvent être en pratique regardés comme constamment en ligne droite et équidistants, ce qui revient à dire que le centre du cercle intermédiaire ne dépend que de la position des centres des deux autres, ou encore des positions des milieux des axes des essieux coudés des deux trucks, sans qu'on ait à s'inquiéter autrement des déformations que les irrégularités de la voie peuvent amener dans le quadrilatère formé par les essieux coudés et les supports du faux essieu. Pour le cas où la bielle de transmission et les supports du faux essieu sont triangulaires, comme dans la machine de M. Rarchaert, considérons ces supports en projection verticale, et soient P, 0, Q (Pl. IV, fig. 16) les points où ils sont rencontrés par les axes des essieux coudés. Soit N la projection du point 0 sur la ligne PQ et concevons la droite
qui joindrait les deux points N de chaque support; elle serait constamment parallèle à l'axe du faux essieu et l'on pourrait appliquer rigoureusement à cette droite tout ce que nous avons dit pour l'axe du faux essieu, dans le cas où la bielle de transmission est droite; d'où l'on conclura ce qui suit, en désignant par h la distance ON qui est égale à la hauteur de la bielle de transmission Quelles que soient les irrégularités de la voie, et pu; suite quel que soit le gauchissement du quadrilatére forrnë par les bases des supports du [aux essieu et les axes des essieux coudés des trucks, le centre du cercle que tendrait à décrire le sommet de la bielle, se trouvera toujours à l'extrémité d'une droite ON de longueur h et élevée perpendiculairement au milieu de la droite PQ qui joint les