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J..
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mètres.
0,10 0,00 0,00 0,02 0,00 0,05 0,00
Epaisseur moyenne.
.
.
0,024
Dans la seconde assise de la cuve, les épaisseurs furent de: mètres.
0,16 0,00 0,00 0,10 0,00
Épaisseur moyenne.
.
.
0,052
Contre les assises plus élevées, on n'a plus rencontré
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PRODUITS SECONDAIRES DES HAUTS-FOURNEAUX.
ÉTUDES MÉTALLURGIQUES.
sion. La formation du carbone ferrugineux est d'ailleurs facile à observer : il suffit de placer quelques fragments de
minerai dans l'un des trous, percés au travers de la paroi réfractaire. Au bout de peu d'heures, on verra ces fragments noircir, foisonner, puis tomber en poussière, et finalement se transformer en un abondant dépôt de carbone ferrugineux. On rencontre ces dépôts jusqu'auprès des tuyères, dans
les cavités des masses figées par le voisinage des caisses à eau. M. Mercier en a même vu sortir, à certains moments,
avec la fluidité du sable fin, par le joint qui sépare les briques de la tympe en fonte.
Au moment de la mise hors du fourneau, on voit trèsbien la matière noire couler des étalages, sous forme de pluie incandescente, dès que la poitrine se trouve abattue. J'en ai recueilli moi-même dans ces conditions, en septembre 1875, lors de l'arrêt de l'un des hauts-fourneaux du Prieuré, près de Longwy. J'en donnerai plus loin la compo-
aucun dépôt, soit que la température y fut déjà trop
sition.
élevée par le fait de l'affluence plus grande des gaz chauds,
J'ai constaté un dépôt analogue dans la cavité d'un loup titanifère, provenant d'un haut-fourneau des environs de
soit que le mouvement des matières et le surplomb des parois aient favorisé, comme je l'ai dit, l'entraînement du charbon floconneux. Dans tous les cas, il suit de ce qui précède, qu'au ventre
et le long des étalages, où les briques sont peu chauffées par les gaz, il existe un cordon plus ou moins continu de matières pulvérulentes ferro-charbonneuses, non incandescentes, dont l'épaisseur est d'ailleurs fort inégale à cause des engorgements et des chutes périodiques si fréquentes dans
les hauts-fourneaux. A mesure que l'ouvrage disparaît par corrosion, avec la partie basse des étalages, la largeur du cordon charbonneux devient plus faible ; le dépôt noir tend pourtant sans cesse à se former sur le pourtour entier de la cuve, mais il est entraîné par la charge, dont il facilite la réduction finale, .à cause de son extrême état de divi-
Saint-Dizier (Haute-Marne).
Passons aux analyses de ces dépots charbonneux. En opérant, dans le laboratoire, sur de l'oxyde de fer presque pur, deux expériences différentes m'avaient donné (*) 0,2945 0,6468
0,531to
Fer métallique Oxyde magnétique
op595
Gangue argileuse
0,0065
0,0575 0,o06 I
Carbone.
0,6'19
Oxygène uni à une partie du fer métallique dissout par l'acide azotique 0,0129 faible. (Par différence.)
0,0 to5
1,0000
1,0000
(*) Voir le mémoire déjà cité sur le dédoublement de l'oxyde de carbone. TOME XV, 1879.
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