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2 i.'; i:1,
2
4
(3 . 2 \nSi
nous aurons (47)
h,
Z = 60 s' 7IS
y 'h ,
d'où on déduit le volume w d'eau salée débité par seconde (48)
w6
.), s' \I g \Ili (p
(
0
h"
s' = 0,3 s 900( s\
(51)
1,21 -i; + 4oz2 + z,'2 g .11'2 + i2
-
441
puis
Si nous posons (46)
POUR L'EXTRACTION DU SEL.
ÉTUDE SUR LES APPAREILS PICCARD
Par le calcul qui précède, nous arrivons donc, aussi rigoureusement que possible, à une équation très simple; mais il est nécessaire de discuter s' et y, et, auparavant, i, et i2. Ces deux intégrales
n2 M
Mais les conditions précédentes n'étant en réalité jamais remplies les valeurs de s' et de y peuvent différer beaucoup de celles ci-dessus. Cependant les formules que nous venons d'établir en donnent une idée suflisamment approchée. M. Max von Arbesser (*) prend d'emblée, dans ses calculs, la formule w=--s'Igh (ce qui n'est point éloigné de la
vérité, puisque y n'est guère que le quarantième de h) et trouve que, pour l'appareil d'Ebensee, dans lequel h=0'1,45, il faut prendre s' = 0,132s. Pour l'appareil de Salies-du-Salat, j'ai trouvé que
est
égal à 160, on a donc dans ce cas Om,35
(49)
(,)
= Jo
2.72d
0,
i= 2
7c
27c
ne dépendent que de la construction de l'appareil et doivent être calculées dans chaque cas particulier. En général, elles ne sont pas égales. Elles sont fonction de la forme des trous de la lanterne du sas, de la forme des
bases du piston, des mouvements et de la position moyenne du piston, de l'inclinaison de la bielle, et enfin
du rayon de la manivelle. Si la lanterne est régulière, c'est-à-dire formée de fenêtres rectangulaires, si, dans sa position moyenne, le piston bouche juste les orifices de la lanterne sans aucun recouvrement, si la bielle est assez longue pour que son inclinaison soit négligeable, si, enfin, le rayon de la manivelle est égal à la hauteur de la lanterne, on a
(50)i1= f 0
s 27;
Et, puisque, dans ses appareils, M. Piccard fait n =6, on voit que l'influence de y revient à diminuer h d'un centimètre environ. On voit également qu'on pourrait, sans grand inconvénient, faire descendre n jusqu'à trois tours seulement par minute, mais qu'il n'y a aucun intérêt à le rendre plus grand que six.
B. Entrée dans le vaporisateur. Pour entrer dans le vaporisateur, la saumure traverse un orifice resserré, de section où l'impulsion lui est donnée par la différence f des pressions qui régnent dans les parties supérieures du vaporisateur et du calorifère diminuée du poids de la colonne ascendante de hauteur h. Mais il ne faudrait pas Cr
(*) Max von Arbesser. Berg und Hilttenmânnisches Jahrbuch,
sin a da = = 0,32 s ,
de J. Ritter von IIauer, 1881, 29* vol., 4° livraison. Tome XIV, 1888.
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