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340 APPAREILS EMPLOYÉS DANS LES MINES ALLEMANDES
EN VUE DE PRÉVENIR LES ACCIDENTS.
calé sur l'axe b, le rôle de manchon d'accouplement, grâce
à appliquer (Pl. VIII, fig. 3) le même dispositif à un puits de plus petite dimension où le défaut d'emplacement n'a pas permis de conserver les ressorts.
à un évidement que présente son profil et qui permet à la pièce c, c'est-à-dire au bras A, de tourner librement d'un certain angle autour de l'axe, jusqu'au moment où le contact des saillies correspondantes des profils de c et
de a détermine la rotation de b. Les bras B, que les ressorts S relient par l'intermédiaire des leviers L aux axes ô, sont calés sur les axes horizontaux F. Les coins e, commandés par un système de leviers dont le fonction-
nement est visible à l'inspection de la fig. 1, servent à fixer le bras B. Il y a quatre bras A par compartiment du puits ; il n'y a au contraire que deux bras B pour l'en«
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Les taquets Haniel et Lueg, employés dans les puits de Mansfeld dans le but d'éviter, comme les précédents, l'obligation de soulever la cage avant de la laisser descendre dans le puits, présenTaquets Haniel et Lueg.
tent à leur partie supérieure une surface inclinée h (Pl. VIII, fig. 4, 5, 6, 7, 8), sur laquelle vient reposer le sabot t en acier fixé à la partie inférieure de la cage. Dans le corps du taquet sont pratiqués deux évidements, l'un horizontal e, l'autre incliné g. L'évidement e donne
semble du puits ; ces bras B sont placés soit sur le côté, soit dans le plan de symétrie qui sépare le puits en deux compartiments, comme dans le modèle du puits Heinitz, nO 4, de Sarrebrück qui figurait à l'Exposition. Cela posé, la cage ascendante soulève les taquets A, qui peuvent tourner librement d'un angle convenable, ainsi qu'il a été dit plus haut, et retombent ensuite sous l'action de leur poids pour recevoir la cage. Quand le moulineur veut
passage à un bouton qui tourne librement sur l'axe k,
faire descendre la cage reposant sur les taquets, il n'a
c'est-à-dire toute descente de la cage qui repose sur les taquets. Mais, si, au moyen du levier p, on détermine la rotation des axes et par suite celle des leviers ko la broche x atteint la partie supérieure de l'évidement g, et les taquets s'effacent devant la cage, qui peut descendre sans avoir été soulevée, grâce à l'inclinaison des surfaces en contact t et h et au déplacement horizontal
qu'à tirer à lui la poignée P, pour dégager les coins e qui calent les taquets B. Le poids de la cage qui repose sur les taquets A, fait tourner ceux-ci dans le sens des flè-
ches, jusqu'au moment où ils s'effacent suffisamment pour lui donner passage. Après la descente de la cage l'effort des ressorts ramène les bras dans leur position initiale, tandis que le poids du système des leviers de manoeuvre replace les coins e au-dessous des bras B. Tous ces mouvements sont d'ailleurs très doux, tant à cause de la présence des ressorts S qu'en raison de l'inclinaison des surfaces des coins e et de la partie inférieure des
bras B qui est en contact avec ces derniers. La seule manoeuvre à faire se réduit d'ailleurs à une traction exercée sur la poignée P. Cette 'simplicité de manoeuvre a conduit
reposant à l'intérieur du coussinet g; l'évidement g reçoit une broche x portant une roulette d'acier b et servant à réunir les leviers k, calés sur l'arbre k qui sont placés de part et d'autre du taquet d, et qui sont commandés par le levier de manoeuvre p. Tant que ce dernier les
maintient dans une position horizontale (fig. 5), la broche x empêche tout déplacement horizontal du taquet,
dont le corps du taquet est susceptible sur la plaque Q. Le mouvement inverse, communiqué à la main au levier p, ramène les taquets dans leur position primitive. Si d'ail-
leurs la cage les rencontre dans sa course ascendante, elle les écarte comme l'indique la fig. 7, et ils retombent ensuite par leur propre poids, après son passage, pour la recevoir sur leurs faces inclinées h. Ce dispositif qui Présente l'avantage de n'exiger des moulineurs qu'une