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344 APPAREILS EMPLOYÉS DANS LES MINES ALLEMANDES
EN VUE DE PRÉVENIR LES ACCIDENTS.
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elles par le boulon fixe e qui se trouve à l'intérieur des. évidements allongés e,e de ces pièces. La faculté de déplacer les pièces a et b assure la possibilité d'ouvrir les portes qui leur sont réunies; en même temps, les faces des pièces a et b, situées du côté de l'intérieur du puits,
qui supporte le poids R. La roue G engrène d'ailleurs avec un pignon calé sur l'axe B, qui porte également une poulie à chaîne P. A l'état normal, le poids D maintient le levier X à la partie inférieure de la course qu'il peut exécuter. Le prolongement postérieur de ce levier, qui est en contact avec le butoir x, assure l'im-
14) et pénétrer dans une encoche horizontale de la' cage (fig. 16) qui se trouve ainsi immobilisée. Pour permettre à la cage soit de remonter, soit de descendre, il faut donc fermer les portes. La cage, en s'éloignant, laisse retomber le loquet f dans la position indiquée en éléva-
mobilité de la roue G, que le poids R tend à entraîner en sens inverse. Les dimensions de l'appareil et la valeur des poids D et R ont été déterminées en conséquence. Mais, si le levier X est soulevé par l'arrivée de la cage, le prolongement de ce dernier abandonne le butoir x, et
viennent se placer en prolongement l'une de l'autre (fig.
tion d'une part et en plan de l'autre, par les
fig.
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et 12, sur lesquelles les portes sont supposées fermées, tandis que, dans les fig. 13 et 14 correspondantes, elles sont supposées ouvertes. Dans le cas où la cage descendante arrive à une recette, la saillie k qui n'est autre qu'un petit levier susceptible seulement d'un déplacement circulaire de bas en haut, se soulèvera légèrement pour franchir l'obstacle que lui oppose le loquet f, et retombera ensuite dans sa position primitive. Les fig. 15, 16, 17 sont des élévations partielles qui sont parallèles à un plan vertical perpendiculaire à celui des élévations représentées par les fig. 'n'et 13. Les portes Schuller employées au puits Heinitz (district de Sarrebrück) fonctionnent automatiquement. Elles s'ouvrent quand la cage arrive au niveau de la recette et se referment quand elle la quitte. Elles sont représentées en élévation et en plan par les fig. 1 et 2 de la Pl. IX. La cage soulève le levier X, qui tourne librement autour de l'axe horizontal -sur lequel est calé la roue dentée G. Le levier X porte, ortes de sûreté, système Schüller.
d'une part, un prolongement qui vient rencontrer un butoir x fixé sur la roue G, et, d'autre part, une
tige verticale à laquelle est suspendu un poids D. À la roue dentée G est attachée une tige verticale
la roue G, entraînée par le poids R, se met à tourner dans le sens de la flèche. La poulie P, à laquelle est atta-
chée la chaîne Y, tourne en sens inverse, et enroule celle-ci sur sa gorge, en soulevant les portes de la recette qui sont reliées à cette chaîne. Les portes sont ainsi ouvertes au moment où la cage arrive au jour. Si, au contraire, elle se met à redescendre, le levier X retombe sous l'influence du poids D, son prolongement postérieur vient rencontrer le butoir x, et la roue G doit tourner dans le sens inverse de la flèche, malgré l'effort
antagoniste du poids R; la chaîne Y se déroule de la poulie P, et les portes se referment. La chaîne Y aboutit,
à sa partie supérieure, à un poids Q destiné à faciliter les manoeuvres en équilibrant en partie le poids des portes. C'est de la partie supérieure de ce poids Q que partent les deux câbles en fil de fer, qui, par renvoi de poulies, arrivent aux barrières. Il convient enfin de signaler que les poids D et R se déplacent à l'intérieur de cylindres H, qui leur servent de guides, et dont le fonds porte
des soupapes p, destinées à régler la descente de ces poids en utilisant comme frein l'air contenu dans ces cylindres. Les portes des mines de Portes de sûreté de Reden. Reden, qui figuraient à l'Exposition avec un modèle du