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NOUVEAUX ORDRES GÉNÉRAUX
DE LA COMPAGNIE DE L'OUEST.
M. Couche, de son côté, semble conseiller le chiffre de 1/10, qui a été admis, dit-il, sur le réseau de Paris à Lyon et à la Méditerranée. Quant à M. Pol Lefèvre, dans son mémoire déjà cité, il adopte le chiffre de M. Thoyot, soit 0,104; je ferai de même dans ce qui va suivre. Le coefficient f' de résistance au roulement, d'après M. Thoyot, s'élève jusqu'à 0,010 quand la vitesse de
action complète des freins jusqu'au moment où la vitesse
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se trouve réduite à y'. La relation précédente revient à PV" 12,96
f'
0,0012 V' 1.000
0,003 4-
f' ne serait donc pas constant, comme nous l'avions admis en établissant l'équation des puissances vives; mais l'influence du coefficient f' sur les résultats définitifs est très faible et on aura une exactitude bien suffisante,
à la condition de prendre dans chaque cas pour f' une valeur moyenne convenable ; car pendant la durée de l'arrêt d'un train la valeur de f' varie en même temps celle de la vitesse. En désignant par y' la vitesse en mètres et par seconde variable pendant l'arrêt du train, y représentant toujours la vitesse avant la mise en action des freins, nous pourrons écrire pour déterminer y' Pv" 2
V" 12,96
constante, ce qui est très près de la vérité et L' désignant
le chemin qui a été déjà parcouru depuis la mise en
x 2g
F,
2 «Fi L',
xq
Le travail résistant dû à la résistance au roulement est, pour chaque déplacement élémentaire dL', égal à
( Pp)f'dL', OU
(P - p)(a
bV") dL',
en posant pour un instant, en vue d'abréger les écritures
f' =_- a 4-
Le travail total dû à la résistance au roulement et effectué jusqu'à l'arrêt complet du train sera égal à (P-- p)f (a + b1712)dii.
L représentant la distance parcourue depuis la mise en action complète des freins jusqu'à l'arrêt du train. Si nous remplaçons V par sa valeur V2 2 F, L', l'expression précédente deviendra
(Pp)f (a + bV2
L'.
La force retardatrice totale F, étant regardée comme
12,96
en posant
P v2
g -= -2g
x 2g
V' et V étant les vitesses en kilomètres et par heure correspondant à y' et V. ou encore
marche atteint 70 kilomètres à l'heure et s'abaisse à 0,004
et même au-dessous lorsque la voie est en bon état et que la vitesse est plus petite que 30 kilomètres ; M. Thoyot employait pour f' la valeur constante 0,004. M. Lefèvre, en utilisant certains résultats d'expérience et en établissant entre eux une sorte de moyenne, propose de prendre
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baFiLi)dli,
ou bien en effectuant et se rappelant qu'ici V est une constante
(Pp)[(a br)L
baFiLq,