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NOUVEAUX ORDRES GÉNÉRAUX
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F, et P dans les deux dernières ; nous obtiendrons ainsi : = po ,
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donneront
(arrêt sur la voie),
N
(premier genre de dérive),
N' =-
4-12e
=
DE LA COMPAGNIE DE L'OUEST.
No+ k.
(arrêt sur la voie),
ko
(premier genre de dérive),
72 - 1
N"î---- + I
et
o
ko
k°)"'"
=
PI
ko
+
(deuxième genre de dérive).
L'évaluation des quantités P p,; P' ,; PL p" qui représentent respectivement le poids d'un train proprement dit, ce que l'on appelle sa charge, et le poids enrayable qu'il renferme, n'est pas une opération simple en pratique ; aussi a-t-on été conduit à évaluer ces quantités par le nombre des véhicules qui les représentent, en attribuant à chaque véhicule (supposé chargé) un poids à; le nombre des freins à placer dans les trains, suivant les cas, est rapporté dans le nouvel ordre général de la compagnie de l'Ouest au nombre des véhicules que renferme le train. Il est facile de voir ce que deviendront les relations précédentes dans ce nouveau système d'évaluation ; nous avons cru devoir, toutefois, établir les formules pour le cas plus général où les évaluations sont faites au poids, attendu que diverses compagnies appliquent encore ce mode d'évaluation pour les trains mixtes et de marchandises. Pour appliquer le nouveau système, nous poserons mi + T
(M
T)
NO zs..,
Pi = 72à,
P, = A ,
P',
N'A, N"
Nous admettrons, en outre, que le poids tu. du fourgon
est aussi égal à à ; alors les relations précédentes nous
(deuxième genre de dérive).
Le poids moyen à ne figure plus dans ces dernières relations ; toutefois, c'est à la condition que l'on admettra que No représente bien un nombre de véhicules à charge ordinaire égal à -1', et cette charge ordinaire, nous estimons qu'il convient de la fixer à 10 tonnes. La première des trois précédentes formules peut s'écrire
n
k (N
N9),
laquelle indique que l'on n'a à placer dans le train que
le nombre n de freins nécessaires pour freiner, dans la mesure qu'indique le coefficient général de freinage k, un nombre de véhicules égal à N No , un nombre No de véhicules étant maîtrisé par l'excédant des moyens d'arrêt dont sont pourvus la machine et son tender. Il faut remarquer aussi que la quantité No est la seule qui dans nos dernières formules varie suivant la machine dont on fait usage, tandis que le coefficient k ne dépend que de la vitesse qu'on admet que le train peut prendre et du profil de la voie, et que le coefficient k, applicable au cas de la dérive dépend exclusivement de ce profil. Nous avons dès à présent toutes les données nécessaires pour calculer N, N', N" en fonction de n, ou inversement n en fonction de N, N", si l'on prend successivement, pour résoudre les diverses l'une de ces trois dernières quantités questions posées, pour variable indépendante. Si l'on construit les courbes (lesquelles Tonie XIX, 1891.
seront en fait 37