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SUR LES MOTEURS ÉLECTRIQUES
sur le circuit de cette armature ; nous fermons simple-
ment ce circuit sur lui-même, avec ou sans intercalation d'une résistance extérieure (rhéostat). La formule (13) du paragraphe 1" est en ce cas immédiatement applicable au mouvement relatif en y faisant 0) E=_-o,
et il en résulte pour le travail élémentaire chop.= du, absorbé par le mouvement relatif de l'armature par rapport au champ
(4) dw201'cospy(2t 12) + cos pyt,]dt. + 752 y"wi.
Cette absorption de travail correspond à un couple qui
tend à entraîner l'armature dans le sens de la rotation du champ, et qui a pour valeur c = dwr
P2VD
2 va,
d
[cos py(2/
9-t
pe
l'emporte. Sa valeur moyenne par unité de temps, pour un nombre entier des périodes de sa variation, est
1)2(1)227; y (pc)
7
y) cos p y I,
(2
(5)
2
R'
12-p2T'
40.,
'
Un tel moteur est donc susceptible de fonctionner
utilement. A la différence des moteurs considérés dans la première partie de notre étude, il est asynchrone puisque y est une quantité variable, qui se réglera d'ellemême de manière qu'il y ait équilibre entre la puissance et la résistance. Seulement, l'action est encore pulsatoire, et la rotation continue n'aura lieu que si S2 n'est pas inférieur à une certaine limite, dépendant de l'inertie mécanique du système tournant. On n'a donc pas encore un moteur capable de fonctionner aux petites vitesses ni de démarrer seul. Il est évident, puisque nous supposons que le champ sans armature tournerait uniformément sans modifier son fantôme, que le caractère pulsatoire provient uniquement du courant induit de l'armature. Si donc, au lieu d'un seul courant, il s'en développe plusieurs dans l'armature, de telle manière que l'ensemble présente dans
ses réactions un suffisant degré de symétrie, nous aurons un couple résultant qu'il nous faut étudier, mais
f,) + cos pyf,].
Dans le mouvement absolu, de vitesse SI en résulte un travail élémentaire
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A COURANTS ALTERNATIFS.
les pièces soient de perméabilités magnétiques invariables, de sorte que si nous fermons le circuit d'armature, ces résultats ne seront pas troublés en ce qui touche le flux en provenance du système inducteur. Dès lors, l'étude du mouvement relatif de l'armature ne diffère pas de l'étude faite au paragraphe 1. Supposons, pour compléter l'analogie, que l'armature soit la même que celle considérée dans le premier paragraphe; seulement, nous supprimons ici la f. é. m. E qui agissait
il
dont nous pouvons, dès maintenant, dire qu'il aura perdu le caractère pulsatoire.
Ce travail, travail, pour une valeur donnée de y, est périodique, 2-rr de période
- il est alternativement moteur et résis-
Supposons, à cet effet, que nous portions à deux le nombre des courants de l'armature, en adjoignant à ses 2p bobines, un second système semblable de 2p bobines intercalées entre les premières ou les chevauchant, de manière que l'écart angulaire entre les points homologues de deux bobines successives, l'une du premier, l'au-
tant, mais en fonctionnement durable le travail moteur
Au signe près des tre du deuxième système , soit 21t. 4p
= p=
y)[cosp y(2t
cosp yi,]clt.