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NOTE SUR LA TRACTION ÉLECTRIQUE
A PRISE DE COURANT AÉRIENNE
soit égale à- 8. fois la -.section de la barre de cuivre, et
ment, se termine à chaque bout par un renflement de
encore ceci suppose-t-il que le contact soit parfait. Cette dernière :condition n'étant jamais remplie, M. Parshall est d'avis de porter l'aire de contact à 20 fois la section de la tige de cuivre. En pratique, on ne va pas aussi loin. Les barres de connexion sont recourbées à leurs extrémités, de manière- 'a
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diamètre à peu près double, dans lequel est pratiqué, suivant l'axe, une cavité d'un diamètre égal à la moitié du diamètre extérieur du renflement lui-même. Ce dernier forme
s'insérer, de chaque côté de la solution de. continuité, dans un trou pratiqué généralement dans_ l'âme du rail, plus rarement dans le patin. Ce dèrnier système, qui réduit beaucoup la longueur des connexions, est celui de M. Holroyd Smith ; l'autre est le plus répandu, et comprend notamment les deux types
L.==
FiG.121 à 123. Connexion Johnston.
de la connexion Johnston et de la connexion de Chi-
no. 124 1. 129.
cago.
Dans le type Johnston (fig. 121 à 123), chacune des extrémités de la barre de cuivre est :filetée, et reçoit tm écrou et un contre-écrou 'qui - serrent
entre eux l'âme du rail. Le contact avec celui-ci
vaut 12 fois la section de la barre, qui mesure ordinairement de 9 à 12 millimètres de diamètre. Ayant de serrer les écrous, on polit au moyen d'un outil spécial les surfaces de contact. Mais plusieurs estiment que la seule surface de contact sur laquelle il soit prudent de compter est la paroi cylin-
ainsi un manchon, dont l'extrémité libre est entaillée de quatre encoches. Quand la pièce est en place, les quatre dents que ces encoches séparent sont rabattues sur l'âme du rail, de manière à produire un épaulement. Puis, le manchon reçoit un noyau de fer cylindroconique, dont le diamètre cylindrique est supérieur de 1,5 mm à celui de cette cavité, et que l'on force à coups de marteau, de manière à produire une expansion qui serre fortement le manchon contre le trou. Si d est le diamètre de la barre de connexion, ),d celui de son renflement terminal, e l'épaisseur de l'âme du rail, il faut, pour que l'aire de contact soit proportionnée à la section 'de la barre elle-même, que l'on ait
drique du trou percé dans le rail, lorsque la pièce- de connexion est fortement serrée coutre- cette paroi. Le Chicago bond (fig. '124 à 129) répond -particulièrement bien à ce programme. Dans ce type la barre de connexion, dont le diamètre varie de 8 à 12 Millimètres ordinaire-
Connexion de Chicago.
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> 4p e Torne XI. 1897.
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