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A L'EXPOSITION DE
MACHINES A VAPEUR DES GROUPES ÉLECTROGÈNES
plus établie que par les trous o. Le mouvement de la soupape est ainsi convenablement amorti, au moment où celle-ci est sur le point d'arriver au contact de son siège. On est arrivé à avoir des. mouvements de soupape très doux avec un simple matelas d'air formant à la fois ressort et amortisseur, en disposant les mécanismes de commande de manière à conserver une levée sensiblement constante, pour tous les degrés d'introduction compris entre deux limites assez éloignées. C'est ce désidéral um que l'on avait cherché à réaliser dans la machine horizontale des Sociétés réunies d'Augsbourg et Nuremberg (fig. 31).
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cylindrique de la came; au moment où le galet venait rencontrer le dos de la came, la bielle b s'éloignait brusquement de l'arbre, et le déclenchement se produisait. Avec ce système, la levée de la soupape n'est pas rigoureusement constante, puisque le mouvement d'ouverture est donné par un excentrique ; le but a été atteint, d'une manière plus parfaite, par la combinaison de deux cames, sur le moteur de 150 chevaux de la Société de construction de machines de Brùnn (Moravie) (fig. 31 bis).
r." FIG. 31
bis.
FIG. 31.
Une came c, placée sur l'arbre des tiroirs, pouvait agir, par l'intermédiaire du levier' //' sur la bielle à fourche b, dont l'extrémité était guidée par le bras b' articulé en o. Le levier, L de la soupape recevait son mouvement de l'excentrique e calé sur l'arbre de distribution, par l'intermédiaire d'un levier coudé articulé en o' et de la bielle d. La came c avait, sur l'arbre, une orientation variable, et c'est cette orientation qui réglait la durée de l'admission. La tige de la soupape était mise en mouvement par l'excentrique e, tant que le galet g roulait sur la partie
Le levier L de la soupape recevait son mouvement, par l'intermédiaire d'une tringle du levier aob dont l'extrémité a était conduite par l'ensemble des deux galets^, g . Le galet g roulait sur un premier manchon à cames c, qui était claveté sur l'arbre de distribution, et qui pouvait être dénommé « manchon d'ouverture » ; le galet g' roulait sur un second manchon à cames c',dit« manchon de fermeture », qui était fou sur le même arbre, et dont la position était réglée par un régulateur à force centrifuge horizontal. La levée de la soupape commençait à un moment où, le