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NOTE SUR LES MOYENS D'ÉVALUER L'EFFECTIF
Enfin, on prend : C„ =
1
6
10 ,
G = w
^m
C = |lO«, m
C'
M1
= Ji06.
La puissance des locomotives n'est pas donnée dans la plupart des statistiques étrangères ; dans les cas assez rares où elle est indiquée, le mode de calcul suivi pour la déterminer diffère de celui qui est adopté en France. Nous avons cherché, quand cela nous a été possible, à établir une évaluation approximative donnant des valeurs comparables à celles des statistiques françaises. Pour les chemins de fer de l'État belge, par exemple, nous avons calculé par la formule F = K\/CGp la puissance des principaux types de machines ; nous avons déduit de ces résultats la puissance moyenne de l'ensemble de toutes les machines en service appartenant à ces types, et nous avons supposé cette puissance moyenne égale à la puissance moyenne de toutes les locomotives. La puissance totale des machines des chemins de fer de l'État belge a été égalée au produit de la puissance moyenne ainsi déterminée par le nombre des machines existant pendant l'exercice considéré. Nous avons opéré de même pour les chemins de fer suisses. Pour la France, nous avons pris les nombres de la statistique officielle. Comparons d'abord les coefficients normaux trouvés pour les grands réseaux français aux coefficients que donneraient les résultats bruts de l'année 1906.
DE MATÉRIEL ROULANT
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