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RAPPORTS SDR LE FREINAGE A MAIN DES TRAINS
a) D'obtenir l'arrêt des trains, supposés marcher à la vitesse maximum qu'ils ne doivent pas dépasser, dans les limites du parcours d'arrêt fixé pour les signaux, enadoptant pour > déclivité le maximum de la déclivité moyenne correspondant au parcours d'arrêt; b) D'empêcher, en cas de rupture d'attelage derrière le fourgon de tête ou le groupe des fourgons freinés de tète, le train de partir en dérive sous l'action de la gravité sur la déclivité maxima de la ligne. Cette détermination se fera au suivantes :
moyen des
formules
c) Pour l'arrêt sur les déclivités : (^y X =z
— 0 ,000e) V2 +
i 1.000?)
—
i - 3
RAPPORTS SDR LE FREINAGE A MAIN DES TRAINS
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X' désignant le coefficient de freinage nécessaire pour retenir une rame en dérive sur une pente; p, le poids freiné du train remorqué ; P, le poids du train remorqué ; a, le poids du fourgon de tête ou du groupe de fourgons freinés de tête, et a le poids des essieux freinés Q de ces fourgons (a 0 = a si tous les essieux sont freinés) ; Enfin © 2 , un coefficient qui a la valeur 0,140 sur les déclivités ne dépassant pas 5 millimètres, et, sur les déclivités supérieures, les valeurs données par les formules suivantes, à savoir : Pour les déclivités de 5 à 10 millimètres : ç 2 = 0,140 — 0,008 (t — 5) ;
Pour les déclivités supérieures à 10 millimètres : X désignant le coefficient de freinage, ou le rapport du poids freiné total du train au poids total de ce train ; V, la vitesse maxima du train, en kilomètres à l'heure; i, la déclivité, en millimètres par mètre (positive pour les pentes, négative pour les rampes) ; /, la longueur, en mètres, du parcours sur lequel le train doit être arrêté ; Et oj, un coefficient qui a la valeur 0,100 sur les pentes de moins de 15 millimètres, et, sur les pentes de 15 millimètres et au-dessus, les valeurs données par la formule : ç, -. 0,100 — 0,00133
(i
— 15).
d) Pour empêcher la dérive : v _ A
{
—
3
~~ 1.000ç ' 2
p p= À 'P +(1 — X'j a, OU p = À' (P — a) + a 0 ,
ç 2 = 0,100 — 0,001 (i
—
10).
Les coefficients f { et ç 2 supposent que les timoneries des freins sont établies de manière à exercer, pour un effort des gardes-freins de 20 kilogrammes au volant du frein, une pression sur les sabots égale aux 2/3 du poids total des wagons à charge maxima. Si les timoneries exerçaient un serrage moindre, ces coefficients devraient être réduits. Ces mêmes coefficients pourront être diminués ou augmentés sans dépasser le maximum de 0,100 pour ©jet de 0,140 pour ç, dans les cas où, eu égard aux conditions du profil, ces modifications seraient reconnues par le Service du Contrôle nécessaires ou acceptables pour la sécurité ; 2° Sur les lignes présentant de longues et fortes déclivités, lorsque les machines ne seront pas freinées au sabot et n'auront d'autre moyen d'enrayage que la contre-vapeur, leur poids freinable ne comptera que pour l'arrêt des machines elles-mêmes, et il n'en sera