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102 Une partie d'eau à 15°,6 centigrades
54°,4 3.00°,o
EXTRAITS DE JOURNAUX:
CIJIM IL. Prend en chaux, 1%
20. Moyen de distinguer la strontiane de la baryte. (Journal of Sciences, 1821 ,p. 189.) Prenez un sel soluble de la terre à essayer ;
Prend en hydrate de chaux. 5
- 4
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faites-le dissoudre dans l'eau; versez dans la dissolution du sulfate de soude en excès , et filtrez : la liqueur étant bien limpide, ajoutez-y du souscarbonate de potasse ; si elle se trouble, la terre -était de la strontiane; si elle reste claire, la terre
A la température de la glace fondante, l'eau dissout deux fois plus de chaux qu'à la température de l'ébullition. M. Philips a vérifié l'exactitude de ces résultats; il a de plus remarqué que lorsqu'on fait bouillir une dissolution de chaux saturée à froid,
était de la baryte.
il se précipite de l'hydrate de chaux sous la forme
ai . Sur quelques combinaisons clans lesquelles un des élénzensn'entre que pour une très-petite proportion; par M. Gr-ouvelle. (Annales de Chimie, tome XT"II, page 354.) La magnésie et l'oxide de cuivre précipités de leur dissolution par la potasse, par la soude et par la baryte, retiennent en combinaison une quantité notable du précipitant que l'eau ne peut enlever. La magnésie retient jusquà 0,04 de baryte, l'oxide de cuivre en retient 0,01 à 0,02
de petits cristaux, et il croit être assuré que la liqueur refroidie retient beaucoup moins de chaux que ne le comporte sa température : il attribue tous ces effets à la force de cohésion de la chaux, force dont il suppose que l'intensité
croît avec. la chaleur. Le rédacteur des _inutiles de Chimie n'admet
pas cette explication, et il doute que l'eau de chaux bouillie et refroidie retienne moins de chaux en dissolution que l'eau de chaux froide non bouillie, ainsi que l'avance M. Philips. Il fait remarquer que la chaux n'est pas le seul
22. Sur les moyens de préparer l'oxide c/zrdme; par M. P. Berthier, ingénieur des mines. ( Annales de Chimie, tonie
corps qui soit moins soluble à chaud qu'à froid; que le sulfate de soude, par exemple, est aussi dans ce cas, et que ce phénomène doit cesser de paraître extraordinaire lorsqu'on se rappelle que la chaleur, d'abord nécessaire pour produire une combinaison, détruit souvent cette même combinaison quand son intensité est devenue plus grande : c'est que la chaleur, après avoir exalté les forces attractives des molécules des corps, peut souvent les affaiblir et même les chan, ger en forces répulsives.
Ive 57.)
Jusqu'ici on a préparé l'oxide de chrôme par l'un des moyens suivans : 1°. en décomposant le chrômate de mercure par le feu ; 2°. en de l'asaut bouillir le chrômate de potasse avec méconcentré, ou avec un cide muriatique d'alcool, et précipilange d'acide muriatique et tant ensuite par l'ammoniaque l'oxide de chrôme.
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