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SUR LA .:OLOGIE.
ment il jaunit à l'air et se délite ; il en est cependant qui conserve sa couleur et sa consistance, et qui est très-estimé cOrnme pierre à bâtir. Le calcaire se fond peu-à-peu dans les marnes par bleues, qui finissent par dominer ou plutôt calcaire des rognons de paraître seules avec plan bleuâtre disposés par lits parallèlement au grande des couches. L'argile feuilletée occupe une de hauteur ; dans la partie supérieure, les litsplus de plus en rognons calcaires deviennent rapprochés , et il finit par en résulter un calcaire feuilleté un peu marneux. Enfin, le calcaire prend de plus en plus de consistance, et devient semblable au calcaire blanc qui se trouve au-dessous de l'argile; mais, il ne dans cette partie supérieure de la formation, couches se lève point par lits ; il alterne avec des des qui paraissent (les grès calcaires ou souvent extrême cristallins; la couche calcaires grenus ou est ordinairement cariée, et ses cavités sont remplies d'un sable ferrugineux , qui donne une les teinte rougeâtre à la terre végétale qui couvre les ravins encausses, et qui est charriée dans vironnans. Ces dernières couches forment une sorte de masse d'environ io mètres d'épaisseur dont les parties plus ou moins solides, diversement dégradées par les eaux, s'arrondissent, se de morcellent, et présentent de loin l'aspectvoit qui bordent les causses
on tours et de ruines souvent dans ces dernières assises calcaires des pas silex blancs et veinés de rouge.; enfin il n'est de fer les causses des grains
rare de trouver sur oxidé hyctrat é.
Ce terrain renferme un: grand nombre de coquilles, qui se trouvent sur-tout dans l'argile
DU DÉP+ARTEMENT DE- Lt LOZkRE.
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feuilletée ; on y trouve entre autres des ammonites, des bélemnites , des térébratu les , des entroques, des peignes , des encrines , des trochites , etc. On rencontre fréquemment dans l'argile et même dans le calcaire feuilleté , des pyrites de fer en lamelles et en rognons, le plus son vent décomposées, ou des coquilles, notamment des ammonites recouvertes d'un enduit pyriteux. Enfin il est remarquable que les rognons de calcaire marneux, qui forment des lits dans l'argile, ont quelquefois un axe formé de pyrite de
fer décomposée. Les marnes renferment fréquemment des frag-
mens de jayets , ou même des troncs d'arbres conservant leur écorce, aplatis suivant le plan des couches, et divisés dans tous les sens par des cloisons de chaux carbonatée blanche lamel-
leuse.
Voici ce qu'on observe dans quelqueeautres points du département. Auprès de Balsièges , on ne retrouve plus les marnes bleues ; elles sont remplacées par un calcaire bleuâtre disposé par lits, qui se décompose en blanchissant à l'air, et qui se délite par feuillets concentriques. Au Pompidou, le terrain calcaire renferme, vers sa partie supérieure, plusieurs couches de grès quarzeux , au milieu desquelles existe une couche de combustible très-peu épaisse. Aux.Rosiers, on voit, au milieu de bancs calcairesïun peu feuilletés et d'argile schisteuse une couche de combustible tout-à-fait semblable à la houille. Gg 2