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DU DÉPARTE REX T DE LA LOZER E.
sun LA. GÉOLOGIE
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Recherche de houille. La première partie a déjà montré qu'il n'existe point de terrain de grès houiller 'dons la Lozère, il me reste à faire connaître la nature des indications que l'on donnait, relativement l'existence de la houille dans ce département.. Les mines des Rosiers sont connu s depuis fort Mines de hounte,daus long-temps : elles appartenaient autrefois au te calcaire , des Rosiers. seq,neur de. l'endroit , qui les affermait moyen-
fr. de bénéfice.
Avec les schistes du toit , qui retiennent un peu de houille , on a cherché à. cuire de la pierre
à chaux, mais on n'a pas réussi ; les pierres ne sont pas suffisamment calcinées. Si les couches de houille et de schistes alumineux des Rosiers étaient plus épaisses, on pourrait proposer d'en tirer le même parti qu'à SaintGeorge, d'y fabriquer de
- niais, sans parler de la difficulté des transports, on ne peut pas
nant quatre louis par an ; maintenant chaque
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particulier extrait la houille dans son terrain. Cette couche de houille se trouve au milieu de bancs calcaires ; elle a environ un demi-pied à un pied d'épaisseur., et elle gît entre deux couches très-minces de schistes alumineux. On trouvera des détails sur le gisement de ce combustible dans le calcaire, dans une Notice de M. Combes sur les houilles calcaires du département de l'A.veyron , qui sont entièrement semblables à celle des Rosiers. (i) Dans ce dernier endroit, on extrait le combustible en ouvrant dans la couche une galerie d'un piel et demi à deux pieds de hauteur, que l'on polisse jusqu'à ce qu'on manque d'air ; qii en commence ensuite un autre à côté. Un ouvrier n'extrait moyennement que 4 quintaux par jour.. Cecharbon se vend i fr. le quintal aux marechaux. des villages voisins. L'ouvrier est pavé à' raison de fr. par jour ; il est nourri, ce que l'on estime i franc. Le propriétaire folirnit tont ce qui est nécessaire à l'exploitation ; il a. un mu(i) Voyez pag. 376 et suiv. de ce volume
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let pour porter la houille aux maréchaux évaluant cette dépense à i fr. par jour, i reste
DEUXIÈME PARTIE
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fonder un établissement appuyé sin' des res-
sources aussi faibles. Il n'est donc point permis d'espérer que cette mine sqit jamais exploitée autrement qu'elle ne l'a été jusqu'ici ; souvent
même, dit-ou, ceux qui l'entreprennent dans l'état actuel des choses, sont obligés d'abandonner.
A un quart de lieue au nord du Pompidou, sur -le flanc oriental de la montagne que l'on descend en venant de Florac, on trouve une couche de combustible assez étendue. La montagne -qui
lé renferme est formée de calcaire et de grès
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en couches horizontales, reposant sur le ?micaschiste. La couche de houille est resserrée entre deux bancs de grès ; elle n'a guère qu'un pied d'épaisseur, et par-dessus se trouve un banc de schistes alumineux. Quelques parties de la couche présentent une texture ligneuse; on trouve. dans ce combustible des pyrites en lamelles et en rognons, qui sont aussi disséminées dans les schistes accompagnans. On a extrait de cette houille, qui-a- été essayée -
Coaclielle houille du Pompidou.