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SUR. LES CHEMINS
posés sur des supports éloignés de im,5o, ils ne devront commencer à plier que sous un poids de 7600 kil, appliqué au point milieu. Les caisses des chariots de la route en fer des Chariots suapendus sar houillères de Bolton, près Manchester, route qui doit servir d'embranchement à la grande route ressorts. de Liverpool à Manchester, reposent sur ressort. On nous 'a dit que c'étaient les seules de cette espèce qui existassent en Angleterre. On diminue ainsi le nombre des cahots , les rails sont moins fatigués et on prétend en outre que la résistance à vaincre est moindre (1). Sur la route de Glasgow, des chariots contenant j ehaldron ( 2689 kil.), et dont la caisse est en bois, pèsent t tonne (10'5 kil.); des chariots à caisse en fer pèsent 18 quintaux (2) (914 NOUS n'avons pu savoir quel était le poids de leurs différentes parties. Les chariots de t chaldron à caisse en bois, employés aux environs de Newcastle, pèsent de .25 à 24 quintaux, sur lesquels il faut compter environ 8 quintaux ( 4o6 kil. ) pour les quatre roues, 3 quintaux ( i52 kil.) pour les essieux, et 12 quintaux ( 609 kil.) pour la caisse. Les chariots de la route de Bolton, près Manchester , pèsent 5o quintaux ( 1522 kil.) , et leur charge 42 quintaux 96 livres (2175 Les petits chariots en bois de M. Thomson ne pèsent qu'un peu plus de 12 quintaux , sur lesquels il faut compter 5 quintaux (254 kil. ) pour la caisse en bois, 5 quintaux ( 254 kil. ) pour les () Ni. Edgeworth a prouvé, par des expériences, l'efficacité des ressorts pour aider au tirage. ( V. Essai sur les Voitures, page 153. ) (2) Ce nombre nous parait faible , nous le tenons ceendant de l'ingénieur de la route.
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roues, t quintal (5o kil.) pour les essieux , t livre pour les boîtes de roues , et t quintal 1 livre ( ok56 ) pour les clous ou autres parties en fer de l'appareil. Le poids des roues en bois avec contour de fer malléable, de dimensions ordinaires, construites par MM. Seguin , est de 8o kilog., tandis que celui des roues ordinaires en fonte est de 98 à 104
kilog.
C'est une grande difficulté que de maintenir les essieux constamment graissés; on a imaginé de placer au dessus, dans le creux d'une pierre filtrante, de l'huile, qui, traversant les pores de la pierre, tombe sur l'essieu. On a trouvé à cette méthode l'inconvénient que l'huile passait souvent sur les côtés. On pourrait y obvier en les recouvrant avec un enduit imperméable ; mais
Moyens di-
vers poile graisser les essieux..
M.Stephenson, ingénieur (le la route de Liverpool,
regarde comme meilleur l'appareil suivant, dont il faisait l'essai lors de notre passage en cette ville. Un vase de fer, fig. 25, est placé au dessus de l'essieu ; au centre est un tube vertical ouvert aux deux bouts; la cavité autour du tube est remplie d'huile; on pose des mèches a b cet a' b'cr , de maiiière qu'elles pendent en cet c' au dessus de l'axe. Ces mèches forment une sorte de siphon , et on augmente ou diminue leur effet à volonté en
augmentant ou diminuant la partie qui en représente la longue branche.
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a ainsi lait varier
la quantité d'huile tombant dans un certain temps d'une goutte à cinquante. Fr'"e"' il était intéressant de connaître les effets du des chariots. frottement que le moteur doit vaincre. D'après un grand nombre d'expériences faites par M. Wood avec beaucoup de soin sur le chemin en fer de Newcastle, le frottement ne varie