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448 ,APERM G0GNOSTIQ S TEATIAXNS: aussi que la formation principale de porphyre. et de syénite renferme quelquefois un terrazrz,
RECHERCHES
de granite absolument semblable à celui qui constitue la plus ancienne formation primordiale connue C'est ainsi que tout se lie et s'enchevêtre dans
LES EFFETS DYNAMIQUES DES ROUES
reconnu, pour chaque nature des roches, les
MUES
l'étude géognostiqtie des terrains. Nous avons passages les plus insensibles des terrains de différentes classes, entre eux; nous avons reconnu, dans Chaque classe, des passages semblables entre les terrains de nature diverse, et même entre ceux qui nous semblent être les produits de genres de phénomènes entièrement différens; nous apercevons maintenant des rapports extraordinaires entre les formations regardées comme les plus anciens résultats de précipitations dans un liquide, et celles dont on attribue tence à des éruptions volcaniques, postérieures à presque tous les dépôts aqueux : cette liaison entre des produits d'époques si éloignées, cette conformité entre des objets dont la dissemblance paraîtrait devoir être si grande, tout nous fait voir une constance et Un enchaînement également admirables dans leS lois que l'auteur des, choseS a données à la nature; mais tout nous fait voir, en même temps, la vanité des systèmes avec lesquels nous prétendrions déterminer et expliquer ces lois, lorsque nous commençons
à peine à connaître une petite partie de leurs effets.
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PAR LA PERCUSSION DE L'EAU; PAR M. RQUSSELLGALLE , Ingénieur au Corps royal des Mines.
Dr VERSES théories ont été proposées sur les effets des roues hydrauliques à percussion. Dans les unes, l'impulsion du fluide dirigé perpendiculairement contre les aubes, est supposée proportionnelle au carré de la vitesse à laquelle elle
est due, et à la surface choquée ; dans les autres, c'est seulement le produit de cette surface, par la première puissance de la vitesse, qui re-
présente la loi du choc. Quoique la première hypothèse parût être confirmée par les expériences de Bossut , l'expression donnée par la se-
conde a été presque généralement admise, dès qu'on a connu les recherches expérimentales de Sméaton. Ce n'est point une théorie nouvelle que je vais exposer ici, mais bien la preuve que les formules de Bossu t sont, jusqu'à présent, ce qui approche le plus de la vérité, qu'il se rencontre nombre de cas dans la pratique oit elles s'ensécartent peu, et qu'au contraire, l'emploi des autres ne
pourrait qu'induire dans les plus grandes er-