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SUR LA RÉSISTANCE, DE LL'ÀieR'-G: 454 Si les 'différences entre'les hatitéïirefifiaridîné---
triques calculées et observées' *sont.eii'géiiére petites, elles le seront encore plus danSles conséquences que ces hauteurs fournissent à la pratique;. c'est-à-dire; _dansAuLtale* Vitesésiet des dépenses odiquantités Ces quantités, ainsi que nouS" le verrons bientôt': dont comme les racines carrées des hauteurs manomé-
triques; et,-vu la petitesse de la différence entre les hauteurs calculées-et observées, nous pouvons
dire que la différence entre les dépenses calculées et Wg dépenses réelles` !né Sera'ci-de ninifié de ConsidéraLions sur la
làjpréinièré:rdIté si ,èée erif.re léà'hantenrs .dieité? 4....'L'aCcôrd * entré lés réâtiltaiS du càlêui'ét
ceux de l'observation, en montrant quefaliii
théorie ad- muleëntipliijiée différait pen:We'téelle mise.
pu ddrne ifrréi-theoriè entiereinent rigÔutetise , m'a'pléiiiëifidnErasSii.ré,Car, je ne:Mer.disSIMUlalà
baSeqnëlquefoiSides raigoiniWmeneet M'es conséquences siir des faits oneitréS principe ' gni n'étaient -'itrals qïfapprokii`naeé= ment. Ainsi , j'avais admis que la résistance à:ait
pas 'cpYé
exprirriepar H '=--=e:7-i`_; H étant la hautiii du 'Ma-
nomètre'adapté' ab. tonne de la tromPei'tandis que Pati`tre'inanoinètre Mdtinanf h ; diatement placé sur la conduite j'avais ene8ie ( Ye. 'pliiS'eXacténient admis qt.leit
était la hahteiif dberia" Ï7iieSse a'Vec lr I "(r)
RelatiVeitlée, `à. Ii M'ereie SiiPi3bSiff5h pouvait'objeeter'qile la-reSiStaiice -est quée par la différence des deux manomètres deux erirém t és dela condnite lors qifil s sont teSitS les deux placés ou sur des réservoirs, ou Mun édia-
DANS DES TUYAUX DE CONDUITE.
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tement. sur la conduite qu'on suppose' terminée par une buse, qui en rétrécit l'orifice; mais que, dans nos expériences, nous en avions-un sur la
conduite et l'autre sur le reservoir,odtonne de la trompe établie en tête-de; là conduite, et que celui-ci, n'étant pas, comme lé'premier,,influencé par la vitesse de l'air dans les tuyatiïF;Till'était pas dans une circonstance semblable,,et'ii&,donnait pas l'indication qu'il eût donnée'S'il eütété:placé sur la conduite. L'expérience notis à Montré que
lors même que l'objectidn serait fondée en -rilgueur, il ne saurait résulter dë notre Snbsition
aucune erreur sensible, et que le manomètre
placé sur la conduite prèscle la trompe eût sensiblement donné la même indication flue celui de la trompe même. Lorsque faisane le Obsérl vations du tableau n°. IV, ;erw partant du fond de la galerie, nous portions le-manomètre de 4o. en
4o mètres, nous voyions la colonne de mercure augmenter d'environ une ligne à'i-chaque station, ntréé:de la galeeie,' à et lorsque.nous, étions 8o mètres ou .à deux stations de là 'trempe ;.i.1 s'en fallait de 'deux lignes que-cette 'Colonne né fût égale à celle diÈrnantimètre- delà: trompé", preuve- que la hauteur decelui-ci 'était tin ternie de notre progression, et ,qteelle était égaleldell'è qu'on aurait eue .en plaçant l'instrumenV'stina conduite près de la trompe. -Par- exemple; dans Pava nt-dernièredes expérienceSd'utableau d'AV, en comptant les \distances,- à:Partir de'yextréinité
de la conduite ; et en se rappela:rite:é la tronipe est à 587 mètres de cette extrémité,.on. a pour les 227; 267 ; 307; 347; 587 met. Distances, 40,1 mil. Haut. manotnétr. 22,1; 26,6; 51,1 ;