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EXTRAITS.
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pourvu que cet alliage ne renferme pas d'autres métaux.
pérature o° et à la pression de 76 °c. de mercure; on retire la boîte de platine et on la pèse pour
Pour faire l'expérience, on se sert d'un aéI re. , pl. ). C'est un tube de verre, long de un pied, courbé vers le milieu
tion relative de cuivre et d'argent dissous. Enfin,
roscope (fig.
sous un angle de 800, fermé à la lampe à une de
ses extrémités et gradué sur cette branche qui doit être de la capacité d'un pouce cube au. moins et un peu élargie vers le bas, pour recevoir toutes les bulles de gaz qui se dégagent d'une
manière quelconque. On prend un poids trèsexactement déterminé, i grain environ de l'alliage réduit en feuilles excessivement minces, on place cet alliage dans une petite boîte de platine
à jour (fig. 2) et on introduit cette boîte clans l'aéroscope qui a dû préalablement être rempli d'acide mumatique pur de 1,133 au moins de densité; on place l'aéroscope sur son trépied et
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on le chauffe vers le coude à l'aide d'une lampe à alcool pendant deux ou trois heures. Pour éviter la perte du gaz qui s'accumule dans la branche fermée par l'effet d'une trop grande dilatation, on enveloppe cette branche d'un réfrigérant (fig. 3) qui consiste en une boîte en fer-blanc rempli d'eau froide et traversé d'un tuyau oblique dans lequel on loge le tube de verre. Enfin, il est essentiel aussi de recouvrir l'acide d'une couche d'huile qui empêche le contact de l'air, sans quoi il arriverait que les métaux absorberaient une certaine quantité d'oxigène qui réagi-
rait ensuite sur l'hydrogène et en convertirait -Une partie en eau.
Quand il ne se dégage plus sensiblement de gaz, on laisse refroidir l'appareil, on mesure l'hydrogène et l'on ramène son volume à la tem-
avoir le poids de l'argent qui peut y rester, et l'on détermine ensuite par le calcul la proporil faut encore examiner le résidu d'argent pour s'assurer qu'il ne contient pas de cuivre; s'il en contenait, il faudrait recommencer l'expérience. 85. Recherches sur quelques combinaisons de Ton; par M. Buchner. (Rep. fur die Phar., t.
29, p. I.) L'or, dès qu'il est mis en contact avec des oxides basiques à une certaine température, qui
doit toujours être inférieure à celle que pourrait produire la fusion, perd sa nature métallique, et il se formé un oxide simple d'un alliage.
Cette combinaison paraît être déterminée par l'affinité de l'or pour le radical de l'alcali. Lors-
qu'on traite une pareille combinaison par un acide, l'oxide alcalin se sépare et se dissout et l'or se précipite à l'état métallique ; la silice et même l'acide borique dissolvent les combinaisons de l'or avec les oxides basiques, et il en résulte des verres colorés. On parvient facilement à obtenir les combinaisons de l'or avec les alcalis proprement dits, en mettant ce métal en contact avec le radical de l'alcali et en soumettant Palliage à une oxi-
dation lente , en évitant avec soin qu'il y ait fusion.
86. Expériences sur fox; par M. Buchner. (Recueil de phar. de Munich, t. 29.) .