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RECIIERCIIE ET EXPLOITATION
DU SEL GEMME.
tap,-es y sont absolument placés de la même manière. Ce système est plus simple que le premier; mais celui-ci offre cet avantage que, le serrement étant indépendant du châssis picoté, on peut le défaire et le refaire à volonté, en ôtant et replaçant les poutrelles, par un travail prompt et facile. Le troisième moyen consiste à pratiquer une rainure dans le sol et dans les deux parois latérales de la galerie et perpendiculairement à son axe, en donnant à ces entailles une largeur qui
faire apprécier la valeur de ces ouvrages, puisqu'il ne s'agissait que de fermer des réservoirs dans lesquels la pression de l'eau ne pouvait pas s'élever à deux mètres. On a vu ( I".) .que ces réservoirs ont été établis pour recevoir les gouttes d'eau qui s'échappaient des joints du cuvelage, recueillies d'abord par une
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excède de omo 2 l'épaisseur des poutrelles qui doivent former le serrement. Les poutrelles doivent entrer de 0'05 au moins dans les parois ; mais, pour faciliter leur mise en place, il faut faire les entailles latérales un plus profondes, sauf à remplir ensuite le vide avec du béton. Pour l'introduction de la clef, il faut même les élargir près du pla-
fond. La première poutrelle doit être noyée dans le sol de om,i 5 au moins, etil est bon de l'asseoir dans un bain de béton. Ici on n'établit pas la juxtit. position du serrement avec les parois de la galerie (si ce n'est au plafond ) , mais bien avec celles des entailles, et cela en faisant deux picotages, l'un à la partie antérieure, l'autre à la partie postérieure, dans chaque entaille, comme on le voit (fig. 1 2
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gargouille régnant sur tout le pourtour du puits. On obtient cette gargouille en ayant soin de laisser, dans le boisage, une lacune de la hauteur d'un cadre, où l'on place seulement des cales formant pont pour supporter le boisage supérieur. C'est dans le vide ainsi ménagé que les gouttes d'eau tombent et se réunissent ; elles ne peuvent pas parce que d'une couler dans l'intérieur du puits, 13) est délarclé de part le cadre supérieur x (fig. manière à s'écarter un peu par le bas de l'aplomb . des parois, et parce que, de l'autre la Surface du cadre inférieury s'incline vers le terrain ; elles ne peuvent pas non plus s'échapper entre le bois
et le terrain, parce que le vide est exactement rempli , soit de béton , soit de terre glaise. Pour la première gargouille que l'on a faite dans le puits Becquey, on avait comblé ce vide au moyen
d'un picotage; mais c'était évidemment faire abus
dans les autres systèmes, mais on peut penser
de cette pratique, puisqu'il ne s'agit que de résister à une pression de moins d'un décimètre. Maintenant j'emploie de préférence un cadre à
Dans tous les cas, on termine par bien calfater
lieu en forme de rigole (fig. i 4.) Quand on vient à rencontrer de l'eau, clans le
Le travail est donc ici deux fois plus long que
aussi qu'il est plus efficace. Toutefois, il faut dire que l'exécution est en même temps plus difficile.
les joints des poutrelles. C'est principalement au premier et au troisième moyen qu'on a eu recours dans les serremens qui ont été établis à Vie; mais ce n'était pas dans des circonstances propres à
surface horizontale que je fais évider dans son miDe
foncement d'un puits, on commence par en ten- l'épuisement. ter l'épuisement avec les moyens simples, tonnes
ou pompes à bras, que l'on a toujours à sa dis-