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5o.
DU SEL GEMME.
RECHERCHE ET EXPLOITATION'
transversalement au fétu , le touchant et le dépassant ordinairement de o"',o6 , longueur suffisante pour que le mineur ait le temps de trouver un re-
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I
à croire qu'il n'en faut chercher d'autre cause que l'inertie des ouvriers qui, il faut le dire, se plai-
gnaient de la fumée que dégageait la sciure, et
fuge. La quantité dont le fétu sort du trou est de t à 2 centimètres seulement ce qu'il faut pour qu'il atteigne la mèche. Les trous de mine varient en profondeur de o ,5 à , et en charge
plus encore le son que nous y avions substitué. 11 sera donc à propos de reprendre ces expériences. A mesure que le sel est détaché par les coups de mine , ou par les coins (quand l'effet des premiers
de 27 à 55 hectogrammes. Quand il s'agit d'abattre le gradin du bas qui se
le blanc et le gris ; et celui-ci est cassé en morceaux
trouve tout dégagé sur sa face supérieure, on fait des trous de mine plus gros (de orn,045), et 2. Les trous qui dont la profondeur va jusqu'à sont verticaux sont percés a l'eau (saturée) par un seul homme qui manoeuvre le fleuret en le faisant danser. On met ordinairement clans chaque gradin deux pétards chargés ensemble d'un kilogramme de poudre , et l'on abat ainsi un volume de 5 mètres cubes. Le sel gemme, à l'instar de certaines pierres de taille , se fore assez facilement avec une mèche ; et M. Meynier avait eu la pensée d'utiliser cette propriété pour le percement des trous de mine. Tous avons reconnu effectivement que l'usage de cet outil pouvait faire gagner du temps; néanmoins on ne l'emploie pas jusqu'ici à cause de la difficulté
de rendre son application commode dans toutes les positions. Pourtant je pense que cette idée ne doit pas être abandonnée. J'avais voulu, à Vie, employer la poudre mélangée de sciure de bois de sapin, et dans l'unique
essai que j'en avais fait, en composant le mélange d'un volume de sciure contre deux de poudre , j'avais obtenu un résultat qui indiquait une économie de 25 p. roo. Ces avantages ne se sont pas réalisés à .Dieuze ; mais je suis porté
n'a pas été complet), il est trié en deux classes,
de la grosseur du poing, pour faciliter la lixiviaion qu'il doit subir ultérieurement. Là finit la t
die du mineur. Cette tâche est payée, pour les galeries de préparation des massifs, à raison de o3 francs par mètre courant, produisant ioo tonnes ou 565 quintaux. Là-dessus les mineurs se fournissent la poudre et la lumière, savoir 8 kil,à 2 fr. 50 ci. . 20 fr. Poudre Chandelle (1).
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à
Totril
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5o ci..
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6
2 6 fr.
mais l'entretien des outils n'est pas à leur charge. 11 faut 3o journées (de 8 heures ) pour abattre, trier et casser i mètre courant. Le roulage s'est fait jusqu'à ce jour au moyen -
de brouettes ; on s'occupera incessamment de l'établissement cl' u n chemin de fer et d'un mode de
roulage en rapport avec cette voie. En attendant, on paye pour le transport au puits, pour le chargement et le déchargement des tonnes, et pour le transport depuis l'embouchure des puits jusqu'aux ateliers où le sel subit ses manipulations, on paye, dis-je, actuellement, 28 fr. par mètre. Les ouvriers (r) La routine des ouvriers s'est opposée jusqu'ici :à.. ce, qu'on substituât l'huile à la chandelle.
Roulage.