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EÉLLE
1I NIAULIQUE
diest,masses d'eau débitées dans le cas dont il eagit, par le bélierunipake,Iéli dor (<1 rehitecture hy drauli qu e,: page 4i3) dit qu'il l'allait huit nutes pour remplir le sas, etque. l'eau déchargée
dans les réservoirs latéraux, coeid on le vidait, s'y élevait à une hauteur de i pied 4 petiCes. paraît d'après les plans que la largeur dedhaque vanne pouvait être -double de cette hauteur: Ainsi la section de chaque vanne peut être considérée comme ne différant pa's'excessivement de la section qu'il ne parait pas impossible de donner au bélier univalve , s'il y a plusieurs soupapes d'arrêt.
Quand on vidait le sas , l'écoulement de l'eau se faisait sans que l'on eût à s'embarrasser de l'i-
nertie d'une colonne en repos au momenedu départ, et de ce que l'eau ne coule pas tonjoUrs dans le même sens comme dans le bélier unioalve.
Mais aussi dans le cas où l'on viderait un sas au
moyen d'un bélier univalve , on pourrait profiter d'une charge plus haute sur chaque réservoir étagé, si ces réservoirs étaient nombreux,
ce qui fait compensation au moins jusqu'à un
A UNE SEULE SOUPAPE.
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diamètre constant si la longueur de la colonne oscillante est grande par rapport à l'amplitude de l'oscillation. La durée des oscillations de l'eau dans ce cas est donc à peu près égale à celle des oscil-
lations d'un pendule ayant la longueur moyenne
de la colonne. u
Si la branche d'ascension est d'un diamètre moindre que la conduite e- la durée de chaque oscillation est, comme on va voir , en raison du rapport de ce diamètre à celui de la conduite. La force vive développée quand l'eau arrive à une hauteur donnée est en raison du quarré de ce rapport, comme le Chemin parcouru dansla conduite. Si la masse en mouvement est supposée à peu près constante , la vitesse moyenne est donc en raison de ce rapport ; le chemin parcouru dans ',la conduite est comme son quarré , ainsi la durée de l'oscillation est comme le rapport simple. Cela suffit pour apprécier la durée de l'oscillation rétrograde du bélier univalve , abstraction faite de la courbure inférieure du tuyau d'ascension
et du jet d'eau oscillant dans l'air libre. L'expé-
certain point. On sait que la durée d'une oscillation dans un siphon à diamètre constant et à branches verticales est comme la racine quarrée de la longueur de la colonne oscillante, et égale à celle d'un pendule ayant la moitié de cette longueur. Si une des branches est très-large par rapport à l'autre, il est facile de voir que, pour chaque hauteur d'eau pénétrée dans la branche ascendante verticale, le centre de gravité de cette eau descend d'une hauteur moitié moindre. La force vive est moitié moindre pour chaque hauteur partielle obtenue, et la vitesse est
rience prouve d'ailleurs que les frottements n'augmentent pas bien sensiblement cette durée. Mais la
environ
tait d'une certaine profondeur aindessous du
V2
de ce
scoitt dans le siphon à
durée du mouvement de l'eau dans l'autre sens est plus longue , à cause du versement par la soupape et du versement supérieur. Pour s'en former une idée, il suffit de considérer la manière dont la force vive s'emmagasine dans le corps de
bélier. Si, jusc[u'à ce que la soupape se ferme la hauteur du niveau du réservoir de pression au-dessus de cette soupape , est seulement égale à la chute , la pression motrice parcourra un chemin plus long pour emmagasiner une quantité donnée de force vive, que si l'oscillation par-